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Petits arrangements entre filles
Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, ffh, hsoumis, fdomine, Oral uro,
... cuvette des WC, elle me cachait le jet mais j’entendais le bruit affriolant de son pipi qui tombait dans l’eau, elle poussait très fort sans s’apercevoir de l’émoi qui s’emparait de moi. Sans le lui dire, je ne pouvais que regretter de ne pouvoir goûter ce délice. Le bruit de sa miction s’éteignait doucement, elle prit un morceau de papier toilette qu’elle plia soigneusement en deux, encore deux ou trois petits jets et elle se leva juste à peine de son siège pour s’essuyer. Je retins son poignet. Elle me regarda avec un air interrogateur: — Laisse-moi t’essuyer ! Elle me regarda un peu surprise et son regard reflétait son incompréhension. Je me mis à genoux devant elle et enfin elle comprit. Sa culotte au niveau des genoux l’empêchait d’ouvrir en grand ses cuisses. Elle l’enleva sans entrain comme l’on part au travail le matin et m’entraîna sur le lit où elle me dit que cela serait plus confortable. Je goûtais son pipi pour la première fois, ce qui me mis dans un émoi extraordinaire malgré le peu qu’il y en avait ; les deux ou trois minuscules gouttes étaient déjà froides mais très aphrodisiaques. Le bonheur qui m’envahit fut tel que je mis toute mon ardeur dans mon travail de lèche et de succion. Cette ardeur se révéla communicative et Marie-Thé commença alors à répondre à mon désir. Mon sexe était à son apogée et nous fîmes l’amour jusqu’à épuisement. Cette soirée de baise reste un merveilleux souvenir et elle eut des répliques dans les semaines suivantes. Marie-Thé ...
... s’était rendu compte du pouvoir magique de sa miction mais malgré sa bonne volonté et mes supplications, elle ne put jamais me pisser dessus et encore moins me régaler de son champagne. Au moins, ne considérait-elle plus ma "perversion" comme répugnante même si elle ne la comprenait pas. Je fus donc tout surpris lorsqu’un jour, elle me dit en avoir parlé avec Cécilia, sa meilleure amie. Marie-Thé et Cécilia travaillaient ensemble, déjeunaient ensemble et se téléphonaient dès qu’elles n’étaient plus ensemble. J’espérais bien pourtant que Marie-Thé aurait été discrète au sujet de mon péché mignon, ce sont des choses trop intimes pour que l’on se les raconte comme ça. Cela aurait dû rester notre jardin secret. Je restais confondu, très mal à l’aise mais j’essayais de prendre un air indifférent pour lui demander : — Et alors, qu’a-t-elle dit ?— Que j’ai de la chance, qu’elle aurait bien aimé être à ma place. Je poussais intérieurement un "ouf" de soulagement. Je n’étais pas très rassuré en me demandant quelle attitude j’allais devoir prendre la prochaine fois que je verrais Cécilia mais au moins je ne serais pas un pestiféré, un dépravé à ne pas fréquenter. — Elle m’a même proposé de te faire goûter son pipi… Si tu es d’accord bien sûr ? Marie-Thé avait prononcé cette phrase sur le ton de la plaisanterie mais avec une expression indéfinissable sur le visage. Se moquait-elle ? Me testait-elle ? Je pris l’attitude de celui qui comprend qu’on lui tend une cabale et fis comme si j’avais ...