Petits arrangements entre filles
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
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fdomine,
Oral
uro,
... cerveau et me disant qu’au pire, c’était l’occasion ou jamais. — Y a pas de raison, chose promise, chose due, dis-je comme un défi. La réplique était banale mais elle était le prélude à des événements qui risquaient eux de le devenir moins. Brusquement Les choses se figèrent autour de nous. C’était bien de faire le fanfaron, mais il fallait assumer. Les attitudes se crispèrent, tout le monde s’observait, qui allait faire le premier pas. Cécilia fut la première à réagir. — Tu es sûr, vraiment… Et après un silence qui sembla durer une heure, elle enchaîna, toujours sur le ton de la rigolade tout en recherchant une approbation dans le regard de Marie-Thé : — J’enlève ma culotte ? C’était sérieux ! Brusquement, l’atmosphère devint électrique, elle ne rigolait plus. Sa question était une affirmation. Dans un mouvement gracieux, elle enleva son string. La tension dans l’air était à son apogée, j’avais du mal à respirer, moi qui n’avais encore jamais trompé Marie-Thé, voila que j’étais sur le point de le faire devant elle et en plus avec sa complicité. Le moment de vérité approchait, j’étais maintenant complètement dans l’ambiance. — Comment je me mets ? Comme ça, au bord de la chaise ? Ça te va ? Sa voix résonnait, comme irréelle, mais son entrain ne m’étonnait pas, cela correspondait bien à son personnage, et manifestement les deux filles avaient préparé leur coup. Marie-Thé nous épiait, et, à mon grand dépit, ne semblait pas du tout offusquée, curieuse de voir si j’allais ...
... assumer jusqu’au bout … Ou alors ? Pris au piège, je n’avais plus les moyens, ou plutôt, plus l’envie de reculer, d’autant plus que la jupe relevée de Cécilia laissait entrevoir un sexe lisse. Sachant parfaitement ce qu’elle voulait, elle le tirait vers le haut avec deux doigts en V inversé, l’ouvrant en grand tout en l’exposant à mon regard lubrique. Je ne pouvais rester insensible devant cette fleur triomphante, suintante de mouille, le rose humide de ses lèvres intérieures boursouflées était un appel au crime. Je comparais ce sexe avec celui, poilu, de Marie-Thé. Marie-Thé à qui j’avais souvent suggéré de se débarrasser de cette pilosité qui cachait plus ou moins sa fente, ces poils qui me chatouillaient le nez, et dont, parfois, un spécimen se détachait pour se ficher entre mes dents pendant les séances de lèche. La perversité d’un sexe lisse n’étant plus à démontrer, j’étais comblé et encouragé par le silence de Marie-Thé qui valait approbation. L’indicateur de ma libido se mit à grimper sans prévenir. Hypnotisé, comme dans rêve et sans un regard pour Marie-Thé qui scrutait la scène, je m’agenouillai devant Cécilia, glissant ma tête entre ses cuisses brûlantes. Une délicieuse odeur de femme en rut envahit mes narines et me monta au cerveau, ajoutant à la confusion. Cette odeur était violente et je l’appréciais d’autant plus que cela me changeait de l’odeur et le goût de savon que dégageait Marie-Thé ; avec cette dernière, c’est tout juste si je ne respirais pas le cinq de ...