Petits arrangements entre filles
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
uro,
... Channel lorsque je lui léchais la raie du cul. Ma bouche vint au contact, mélange de senteurs et d’épices, je glissais ma langue à l’intérieur de la rose sanguine, à la recherche du bouton qui fait réagir ces dames. Pendant ce temps, Cécilia commença à pousser. Ma langue caressait le pourtour de son urètre que je sentais grossir sous l’effort. Au même moment commença un dialogue surréaliste entre les deux femmes. Marie-Thé s’adressant à Cécilia : — Alors! Tu y arrives ?— Pas encore, il me suce ce cochon, je n’arrive pas à me concentrer.— Ah oui, comment tu trouves ?— Pas mal, pas mal, c’est même plutôt agréable. Tu ne disais pas que des bêtises en parlant de ton suceur. Les commentaires de Cécilia étaient entrecoupés de respiration saccadée et de soupirs qui me rassurèrent sur mes compétences en ce domaine. Elle continuait à pousser de plus en plus fort au point que je me mis à craindre la catastrophe, pour éviter tout accident, je pris ses fesses entre mes mains et les serrais très fort. Cela eut un effet bénéfique, un mince filet salé sortit de son méat. Aussitôt, je m’activai pour faire disparaître toute trace, ce qui eu le don de faire faire des soubresauts à ma bienfaitrice. Marie-Thé s’informa aussitôt: — Ça y est ?— Je ne sais pas, je n’ai rien senti sortir ? et s’adressant à moi :— Tu en as eu ? Délaissant ma position le temps de glisser dans un souffle : — À peine deux ou trois gouttes… Je me replongeai entre les cuisses douillettes, bouche ouverte contre la ...
... source divine. Cécilia redoublait d’efforts sans pour autant me gratifier de résultats plus probants. Je me jetais sur la moindre goutte. Ce petit jeu durait et à part le fait d’avoir mal aux genoux, nous nous trouvions bien chacun à notre place. Finalement, ce fut Marie-Thé qui s’impatienta : — Alors, tu vois bien qu’on n’y arrive pas !— C’est de sa faute, il me suce et ça me rend toute chose…— Arrête-toi ! m’ordonna t-elle en me tapotant sur la tête. Bien que m’étant adressé, ce petit geste ne me signifiait pas de cesser mais était plutôt à l’intention de Marie-Thé. Je décidais de changer de stratégie et retirant ma langue, ouvrit ma bouche en grand comme pour dire, je suis prêt. Cette attitude fut couronnée de succès. Après une énième poussée, Cécilia expulsa un jet violent et copieux qui m’atteignit le palais. Le bonheur fut alors fulgurant, l’espace de quelques secondes je venais d’atteindre le nirvana. Enfin je connaissais cette impression qui m’avait tant fait fantasmer. Sans m’attarder à déguster le nectar, je m’empressai d’avaler ce que je pouvais mais j’avais été surpris et avais laissé échapper une quantité non négligeable. Cécilia eut un mouvement de recul. — J’en ai plein les fesses, ça coule dans ma raie ! Fou de bonheur, en cet instant, j’étais prêt à faire n’importe quoi, capable de me jeter du haut d’une falaise si elle me le demandait. Servile, je nettoyais consciencieusement avec ma langue la moindre parcelle de peau touchée par le pipi, jusqu’à son petit trou ...