1. Quelqu'un dans mon genre


    Datte: 05/07/2018, Catégories: fh, voisins, amour, Oral nopéné, humour,

    ... dans le sommeil d’une femme. Le petit air sérieux qu’affichait son beau visage était tout à fait craquant. C’était la première fois que je voyais une femme dormir « sérieusement », comme si elle était concentrée sur son sommeil. Je savais qu’elle m’attendait… que je pourrais la prendre, maintenant. Il me suffisait de la réveiller… de plonger mes yeux dans les siens et de laisser faire l’alchimie mystérieuse qu’il y avait entre nous. Parce que réellement, c’était de cela qu’il s’agissait. Une attraction irraisonnée et complètement folle à laquelle je ne parvenais pas à résister. Plus je la côtoyais, plus elle m’apparaissait désirable, sensible, maligne. Comment avais-je pu la repousser tout ce temps ? Comment était-il possible que je sois resté aveugle à la beauté de son âme, que j’aie pu la prendre pour une écervelée sans intérêt ? Tout ça parce que je lui avais plu dès la première rencontre, et qu’il était inconcevable pour un pauvre minable comme moi de s’imaginer que cela puisse être le cas ? À l’évidence, j’étais plus qu’« un coup », pour elle. On ne met pas un pote dans une caisse juste pour impressionner le voisin d’en-dessous. Des mecs, elle devait en avoir des pelles qui tournaient autour d’elle. Et voilà… je n’avais pas envie de la réveiller. Méditatif et totalement sous le charme, je m’étais mis à genoux, près d’elle, et je l’avais contemplée. Passant doucement un doigt sur sa bouche, sur ses lèvres, sur ses paupières, caressant ses cheveux bruns… Un trouble ...
    ... subtil s’était emparé de moi. Sally ressemblait à une petite chose fragile qui avait besoin d’être protégée, câlinée, aimée avec douceur et tendresse. Et en même temps, la perfection de son corps, l’éclat de son regard, le ton de sa voix m’imposaient comme une forme de vénération, de soumission à son égard… Lorsque je la voyais hésitante, balbutiante, désemparée, j’avais envie de la serrer dans mes bras, de l’embrasser avec toute la tendresse du monde, de la prendre en conquérant, en mâle dominant et protecteur… Mais lorsqu’elle me fusillait du regard, lorsqu’elle plaquait mon visage contre sa chatte et m’intimait de ne se consacrer qu’à son plaisir, j’avais envie de devenir sa chose, son jouet, son esclave… L’envie de me soumettre ainsi à la volonté d’une femme ne m’était jamais arrivée. Ça me rendait à la fois mal à l’aise, et fou de désir. Et là, nous sommes enfin dans ma chambre, et nous mêlons nos langues l’une à l’autre, mélangeant nos salives en un baiser profond, avide. Elle vient d’écrire « Non, jamais », et tout son corps dit « Oui, encore » Une de ses mains se pose sur mon entrejambe, je n’en peux plus, je suis ivre d’impatience… Je lui caresse les cheveux, et doucement laisse glisser mes mains le long de son cou, de ses épaules… Puis, à travers le pull, j’effleure ses seins de mes doigts légers. Elle gémit et frissonne comme au sortir d’un bain glacé. Waouh, elle est sensible ! — David… je t’en prie… Sa supplication sonne étrangement à mes oreilles. Veut-elle que ...
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