Vacance d'un hétéro avec un copain bisexuel (5)
Datte: 05/07/2018,
Catégories:
Gay
Pour les phrases espagnoles, si votre curiosité le demande, copiez et traduisez avec Google ! Le lendemain quatrième jour, nous prenons une journée plus relaxe et en profite pour aller se promener sur l’île. Nous louons des motos tout-terrain et partons à l’aventure ! Nous explorons l’île une partie de la journée, on s’amuse comme des enfants ! Nous trouvons un chemin qui mène vers l’autre côté de l’île et après plus de 15 minutes, nous arrivons à un petit village d’environs 10 petites maisons et une grande salle commune. Village isolé qui cultive les bananes. Des hommes et femmes seulement s’y trouvent. Mon ami qui échange quelques phrases, me dit, c’est un village de travailleurs. Une jeune femme qui n’est pas vêtu comme les autres et portant un chapeau s’approche de nous. Elle relève la tête et c’est .... Maria. Elle nous fait la bise et explique à mon ami qu’une fête se prépare ce soir à minuit. La "Todo está permitido esta noche!" Elle à encore la soirée d’hier en tête et aimerait nous avoir ce soir vue qu’elle connait notre ouverture d’esprit. Nous acceptons l’invitation et reviendrons en taxi ce soir. Avant de repartir, l’homme à qui parlait mon ami dit: "Esta noche es una noche de orgía. Esta noche heterosexuales, lesbianas, gays, bisexuales, todos son bienvenidos. Cuba Libre a voluntad. Una obligación es tomar la raíz de banana elimina todo prejuicio y la inhibición. Pero todo puede pasar en el placer del sexo. Hasta esta noche." Nous repartons en moto vers ...
... l’hôtel, minuit commence notre cinquième jour ! L’homme qui nous avait parlé nous avait donné deux petits bouts de bois tendre, il avait précisé de prendre une heure avant de venir à la soirée. Le reste de la journée fut du repos, pour être en forme à cette nuit qui s’annonce être une partouze. Nous en avons parlé longuement de ce que pourrait être cette soirée, et je lui exprimais ma peur de ce désinhibiteur qui pourrait profiter à certain que je ne préfère pas. Je suis qu’un hétéro qui ose goûter aux aventures de jeunesse et même plus, ayant dépassé mes limites avec mon lui, mon ami qui m’avait convaincu qu’un trou, c’est un trou. Ce qu’il ne sait pas, c’est que mon envie était d’enculé Maria, mais ses yeux apeurés m’avait convaincu de la respecter. Un trou, c’est un trou, me suis souvenu. Je vois les deux anus et la seule différence est le poil qui l’entoure. Étant excité au maximum, j’ai tenté ma chance. J’ai trouvé ça différent, ma limite mentale venait d’être dépassé, et de loin. J’avais osé. Il est 23:30, le taxi est déjà en avant, nous avions pris ce petit bois mou, qui se trouvait à être la racine en question. Nous quittons pour l’endroit, le chauffeur était au courant et nous regarde avec un drôle de sourire. J’aime son sourire, mais je réalise en même temps que les sourires d’homme ne font pas partie de mes préférences. Je n’aime pas ce sentiment, je repense à la racine ingérée. Je sens un peu de frayeur, sans le savoir, j’ai placé ma main sur la cuisse de mon ami. Il me ...