1. Vacance d'un hétéro avec un copain bisexuel (5)


    Datte: 05/07/2018, Catégories: Gay

    ... regarde et fait de même. Il a le visage inquiet aussi. Le chauffeur nous y dépose et nous dit, je serai ici quinze minutes au cas où vous changez d’idée. En sortant, Cuba Libre déjà en main, servi par un cubain pratiquement nu. Un cache-sexe seulement, faut le dire rapidement, car il ne cache pas son érection qui est énorme. On entends des bruits dans les buissons et on peut voir quatre hommes s’enfiler comme des paniers d’épicerie. J’ai un flash qui me fait penser, est-ce ça que c’est "à la queue-leu-leu". Nous entrons dans la salle commune, les festivités sont déjà bien commencées. Je regarde rapidement et je vois Maria dans le fond de la salle, avec des hommes qui l’entoure, elle masturbe un homme de chaque côté, en suce un avec la tête par en arrière, se fait fourrer par un et enculé par un autre. Pourtant elle n’a pas voulu hier. Maria se fait déjà défoncé par touts les trous, elle qui ne voulait pas avec nous, je repense à cette racine. Je regarde encore et il n’y a pas plus de cinq femmes dans la salle mais plus de vingt hommes. Je vois sur le côté de la salle, un attroupement d’hommes. Celui du milieu est ce qu’on pourrait dire, un Sumo. Il doit être dans les 150 kilos. Grand et gros. En regardant un peu plus, on voit un homme qui essai de sucé sont gland et deux autres qui lèche chaque côté de son énorme queue. Une queue, non, un pieu. À voir une main qui la tien, je peux facilement croire qu’il fait plus de 25 cm. La main qui la tien, ne fait pas le tour ...
    ... complètement. D’un mouvement de son bras, les déplacent, étant bandé comme un taureau, il prend par les cheveux un homme non loin de lui qui pénétrait une des rares femmes dans la salle. Il ne demande pas permission, le fait pencher sur une table et l’encule d’un trait. L’homme hurle et se débat, mais ne peux rien. Je prend peur et mon ami aussi. Nous étions venus pour explorer différentes choses de la vie et bien sur, revoir Maria, mais Maria qui nous avait vu, ne semble pas intéressé plus qu’avec ceux qui la baise. Je dis à mon ami, je ne veux pas rester, j’aime pas ce que je vois. Il me répond, même chose pour moi. Nous retournons à l’extérieur, et le taxi avançait déjà vers la sortie du petit village, nous avons due courir et crier. Il arrêta. D’un éclat de rire, il nous dit, Merci Amigo, j’ai gagné mon pari avec un autre chauffeur. J’ai parié que vous ne resterez pas ! Merci, un mois de salaire ! Rire ! 20 CUC ! rire. Je lui tape sur l’épaule et dis, allez, va s’y. En roulant vers l’hôtel, je reconnais un chemin vers la droite, je dis au chauffeur, tournez ici . Il me répond, ce n’est pas l’hôtel par là. Tu parles trop Amigo, va et tais-toi. Cinq minute de chemin boisé et nous arrivons sur une petite maisonnette qui semble abandonné. Nous avions arrêté ce matin en motos. Mon ami avait trouvé la clé, ayant lu une inscription gravée sur le côté de la porte. Nous avions fait le tour de la place, qui était propre et nous y avions mangé sur place avant de remettre tout en place. ...