1. Tout ou rien


    Datte: 06/07/2018, Catégories: fh, jeunes, couple, amour, miroir, pénétratio, fsodo, amourpass,

    ... sais bien. Il sourit encore, et m’embrasse. Son baiser est comme toujours, passionné, fougueux, comme s’il m’embrassait pour la dernière fois. Cela le définit totalement : il donne tout, tout de suite, comme si ça devait être la dernière fois. C’est comme ça qu’il vit, comme ça qu’il joue, comme ça qu’il me fait l’amour, comme ça qu’il m’aime. Ses mains se baladent sous mon tee-shirt, pour défaire mon soutif. Il prend mes seins dans ses mains, et les caresse, les pétrit, comme il sait si bien le faire. Mes tétons pointent sous l’excitation, et je soupire de contentement. Il s’assoit sur le canapé, que je puisse me mettre à califourchon sur lui. Il me lèche alors ces tétons éveillés, me faisant soupirer de plus en plus fort. Je sens ses mains sur mes cuisses, qui remontent sur mes fesses. Mon corps se cambre, par instinct, l’invitant à continuer. Ses doigts glissent alors dans la raie de mes fesses, puis s’aventurent vers mon clitoris. Je sens ma culotte trempée. De mon côté, je pétris son sexe à travers son jean, et le sens peu à peu se dresser, prisonnier du vêtement. — Jérémie… S’il te plaît… Vas-y… Alors il m’emporte dans sa chambre, et s’allonge en travers du lit. Je lui déboutonne précipitamment son jean, il m’arrache mon débardeur. Ma jolie culotte en dentelle rouge y passe aussi. Je m’assois doucement sur lui, et le sens me pénétrer. Je pousse un cri, de plaisir et de soulagement, de le sentir enfin en moi. Ses mains sur mes fesses accompagnent le mouvement. Je ...
    ... tourne la tête vers la gauche, pour nous voir ainsi unis, transpirants et haletants. Mes seins s’agitent, ma bouche entrouverte laisse échapper des cris de plaisir. Lui grogne de plus en plus fort. Je m’agite sur lui, de plus en plus vite. Son sexe puissant me laboure ainsi, et je crie en jouissant une première fois. Je me penche vers lui, pour l’embrasser encore, fougueusement. Son souffle me permet de respirer. Je manque d’air, tant le plaisir m’étreint. Dans un roulé-boulé désordonné, je me retrouve face à cette glace. Jérémie est derrière moi. Je sens sa respiration rauque dans mon cou, et son sexe, toujours impatient, cogne entre mes cuisses. Je me penche en avant, je vois mon reflet, à quatre pattes sur le lit. Mes reins suivent le mouvement, encore et encore. Lui aussi me regarde. Il me désire tellement, il me prend avec ferveur. Je crie toujours, je ne peux plus m’arrêter. Il se penche sur moi, caresse mes lèvres entrouvertes. Ses mains prennent mes seins luisants, et il me redresse. Son torse se frotte contre mon dos, il pince mes tétons entre ses doigts. — Aah… Ah ! Oui ! Encoore… Il s’arrête alors, me laissant dans un soudain désespoir. Mais il n’est que de courte durée. Il se retire lentement, et ses mains s’égarent sur mes fesses. Je comprends son envie, ses mains m’enflamment encore. Je me mets de nouveau à quatre pattes, appuyée sur mes coudes, les fesses en l’air, l’invitant à me posséder ainsi. Je le fixe dans la glace, d’un regard que lui seul connaît, et qui ...