Le dépucelage de Denise
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
2couples,
grp,
couplus,
extraoffre,
Inceste / Tabou
hotel,
Oral
échange,
Partouze / Groupe
Dans les secondes qui suivirent, nous apparûmes dans l’encadrement de la porte de la chambre. Mon cousin, était en chemise, la bite encore bandée et toute luisante de foutre. Mon string, en lambeaux, ne cachait rien de ma chatte, mes seins étaient nus, ma mini et mon chemisier gisaient dans le salon. Sur le lit, la mariée, qui avait gardé sa robe de cérémonie, était troussée jusqu’à la taille, et le garçon d’honneur, nu – à part ses chaussettes – était planté jusqu’à la garde entre ses cuisses ouvertes à cent-quatre-vingt degrés. Tous deux nous regardèrent bouche bée pendant quelques secondes. — Marjorie ! Salope ! T’as pas honte ! Le jour de notre mariage ! La jeune femme ne semblait manquer ni de sang-froid ni d’à-propos. — Dis donc mon chéri ? Et toi, t’as pas honte? Tu viens me faire la morale la bite à l’air encore toute bandée et luisante de foutre ! Sans doute celui de la jeune personne qui est à côté de toi avec les seins à l’air et la culotte en sautoir ? En plus, c’est pas ta cousine, ça ? Il me semble que tu me l’as présentée en tant que telle ce matin. Je me trompe ? T’es quand même drôlement gonflé, je trouve! Le plus gêné c’était incontestablement le garçon d’honneur. Se trouver coincé en train de baiser la mariée, alors qu’on est garçon d’honneur de l’époux, c’est un peu gênant quand même. De plus, la porte s’était ouverte pile au moment fatidique des orgasmes. Notre irruption lui avait fait perdre son contrôle, et il avait lâché la purée alors que, du fait de ...
... la surprise, il se retirait du vagin de la jeune mariée. Son sperme avait alors giclé un peu partout. Sur le ventre de la jeune femme d’abord, sur la robe de mariée ensuite. Avec les dernières gouttes il avait maculé la moquette. Quel dommage de perdre tout ça ! Maintenant sa verge marquait ostensiblement six heures trente. Il amorçait d’ailleurs un mouvement de repli stratégique, mais Marjorie était décidée à ne pas céder. — Toi, tu restes là ! Puis, à l’adresse de son mari. — Alors mon amour ? On en est à un partout, là !… Qu’est-ce qu’on fait ? On va pas rester plantés là toute la nuit ? On la continue notre nuit de noces ? Et si oui, comment ?— Quoi un partout ? Tu te fais sauter par le premier venu et tu dis un partout ?— Je dis un partout parce que je te vois dans l’encadrement de la porte, la bite à l’air, avec une pouf que, cousine ou pas, t’étais en train de tringler, non ?— Bein ! Euuuuh !… Bon d’accord !… Je… Qu’est-ce que tu veux dire par continuer notre nuit de noces ? Elle n’a même pas commencé !— Pas commencé ? Mais si, mais si ! C’est juste qu’on n’était pas exactement en train de la démarrer ensemble. Mais on était bien chacun de notre côté en train de faire ce qu’on fait habituellement la nuit des noces. Toi t’étais manifestement en train de baiser ta cousine, et moi, j’avais entamé une petite séance avec Fabien, et je commençais juste à prendre mon pied quand tu as surgi comme un diable d’une boîte, l’air ahuri, la queue à l’air et ta pouf de cousine à tes ...