Le dépucelage de Denise
Datte: 06/07/2018,
Catégories:
2couples,
grp,
couplus,
extraoffre,
Inceste / Tabou
hotel,
Oral
échange,
Partouze / Groupe
... foutre dont elle avait dû l’enduire copieusement. Hormis ses accès de timidité, il semblait être assez performant, car il ne fallut que quelques coups de langue bien placés à la base du gland pour que son sexe retrouve une belle vigueur. Et Marjorie avait raison : un vrai petit âne ! Pendant ce temps ma nouvelle cousine avait voulu enlever sa robe de mariée, mais son mari l’avait empêchée d’un geste. — Non, non reste comme ça c’est bien plus excitant ! J’ai envie de te baiser au milieu de tes dentelles. Je t’aurais juste demandé d’enlever ta culotte, mais comme t’en avais pas mis, c’est tout de suite fait, hein ? Tournes-toi et donnes ton cul, salope !— J’avais dit que je voulais Fabien !— Moi d’abord ! Et mon cousin, après avoir fait mettre sa nouvelle épouse à genoux sur le bord du lit, lui rabattit la robe et les jupons sur le dos et la tête, et vint enfiler sa queue dans la chatte encore dégoulinante du sperme de son garçon d’honneur. Sa bite était certes moins impressionnante que celle de Fabien, mais il n’avait pas débandé une seule seconde. Je suis sûre que la situation l’excitait et qu’il avait été vachement émoustillé rien qu’en voyant sa femme emmanchée par son copain. Marjorie devait aussi apprécier la situation car, malgré ce qu’elle avait fait comme commentaires sur la supériorité de Fabien, il ne fallut que quelques allées et venues de Rodolphe dans son vagin bien lubrifié pour qu’elle recommence à chanter Manon. — Oh oui chéri ! C’est bon ta queue ! Prends-moi ...
... bien là ! J’adore quand tu me bourres la chatte comme ça, en levrette. Vas-y salaud ! Bourre-moi ! Bourre-moi plus fort ! Ça vient, ouiiii ! Je jouis ! Je jouis ! Aaaaah ! Pendant ce temps, moi je continuais à tailler ma pipe au garçon d’honneur. — Viens ma cousine ! Venez avec nous sur le lit, il y a de la place ! C’est vrai qu’il était grand ce lit ! Un « King Size » comme disent les Américains. À peine étais-je assise sur le bord où j’avais amené Fabien en le tirant par la queue, que Rodolphe suggéra : — On change Fabien ? Je te redonne ma femme ! Je voudrais terminer ma cousine. Je te la repasserai tout à l’heure. N’aies crainte ! C’était bien parti ! Les garçons avaient décidé de nous prendre à leur guise et de passer d’une chatte à l’autre sans nous demander la permission. Ceci dit, j’étais contente de retrouver mon Rodolphe. Je m’allongeai sur le dos, et j’écartai largement les jambes comme la mariée le faisait tout à l’heure en se faisant pistonner par le garçon d’honneur. Ce faisant, mon mollet vint s’appuyer sur le fessier de ma voisine qui se faisait à nouveau emmancher en levrette par cette queue qu’elle trouvait si bonne. Mon cousin contempla un instant ma chatte avant de s’avancer, le membre viril pointé vers sa cible. Sa pine toute maculée des sécrétions de sa femme et du garçon d’honneur n’eut aucune peine à réinvestir ma crevasse. Il se mit à me baiser à grands coups de queue, s’appuyant d’une main sur le lit, tandis que de l’autre il me massait le clitoris. ...