1. L'université : de la soumission à la consécration (5)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... je n’avais pas encore pris conscience : je bande comme un taureau ! Comment est-ce possible ? Je suis en train d’être utilisé comme une chose par une femme autoritaire qui pourrait être ma mère ! Décidément, depuis que je suis à l’université, je ne comprends vraiment pas les réactions de mon sexe. Je vais finir par croire que j’adore être utilisé, soumis, humilié. — Je peux savoir ce que tu attends ? s’impatiente-elle. J’hésite encore une seconde, puis je fais enfin descendre mon caleçon à mes pieds. Pas le choix... Un vaste sourire s’étale sur le visage de ma tortionnaire. — Pour qui tu te prends ? Je t’ai demandé de bander ? Sur ce elle se lève, une règle en fer à la main, puis elle s’approche de moi. — Je suis désolé Madame, je... Je ne voulais pas... Elle ne répond rien, mais se place à côté de moi et m’assène un grand coup de règle sur les fesses. — Tais-toi ! Ordonne-t-elle. Mais à ma grande surprise, elle prend ensuite mon sexe en main et l’observe un moment. — Huuummm... Jolie queue, je vais bien m’amuser avec. Excité comme je le suis, aussi bien par les événements de tout à l’heure que par les derniers jours (et, il faut bien le reconnaître, par la situation actuelle), je dois me concentrer pour ne pas tout lâcher au simple contact de sa main. Soudain, elle lâche ma bite et m’assène un nouveau coup de règle sur les fesses, ce qui m’arrache un cri de surprise. — Tu peux crier autant que tu veux, mais tu finiras par aimer ça. J’en doute vraiment, mais par prudence je ...
    ... préfère ne rien dire. Elle sourit devant mon stoïcisme, qu’elle apparente peut-être à de la soumission. Soudain, elle s’empare de nouveau de mon sexe, qu’elle commence à masturber doucement. — Tu aimerais que je te suce ? me demande-t-elle d’une voix soudain radoucit. Je n’y crois pas : est-elle vraiment sérieuse ?? — Oui Madame, j’aimerais beaucoup, réponds-je avec toute la déférence possible. Cela me vaut un nouveau coup de règle, suivi d’un éclat de rire. Elle lâche ma bite et lui assène à son tour un coup de règle en métal. Cette fois ce n’est pas seulement humiliant, mais douloureux. Sous le coup de la honte et de la colère, des larmes me montent aux yeux. Ce qui se joue dans ce bureau me rappelle un peu ce que Paul a fait à Camille pour lui faire comprendre qui était le maître. Sauf qu’elle était consentante ! La sous-directrice s’asseoit alors sur son bureau, face à moi, et entrouvre les jambes. Je constate qu’elle n’a pas de culotte, mais aussi que son sexe n’est absolument pas épilé : une touffe de poils bruns s’épanouit dessus et tout autour. Je n’aime pas trop, mais d’un autre côté ça m’apporte aussi de la diversité dans les sexes qui ne cessent de s’offrir à mon regard ces derniers jours ! Elle ne me laisse guère le temps de réfléchir d’avantage sur son sexe, car elle m’ordonne aussitôt de venir le lécher. — Voyons si Léna avait raison sur tes talents, ajoute-t-elle. Bon sang, mais j’en ai marre de lécher des chattes, moi ! Je veux les baiser, toutes ces salopes ...
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