1. L'université : de la soumission à la consécration (5)


    Datte: 06/07/2018, Catégories: Hétéro

    ... qui passent leur temps à m’exciter ! Pourtant, je ne dis rien et je m’exécute docilement, comme toujours. Je m’accroupis entre ses cuisses, je pose mes mains sur ses lèvres intimes pour les écarter un peu, puis je commence à lui lécher la fente. Mon démarrage est un peu brutal, je préfère d’habitude préparer un peu ma partenaire, mais là j’en ai marre de jouer le sous-fifre, je veux aller le plus vite possible. Et de toute façon, ça semble lui convenir. Je dois dévoiler des trésors d’ingéniosité pour ne pas avoir des poils plein la bouche, je les repousse tant bien que mal avec mes doigts, mais il y en a toujours qui viennent se glisser sur ma trajectoire. Heureusement, Madame semble satisfaite de ma prestation puisqu’elle soupire déjà de plaisir. — Mets-moi des doigts... soupire-t-elle. Je m’adapte alors pour satisfaire son désir : je place ma main gauche en ciseaux pour maintenir ses lèvres écartées (même si elles commencent à l’être de plus en plus toutes seules), puis je fais glisser l’index de la droite le long de sa fente. — Oublie tes trucs pour minettes effarouchées, mets-moi des doigts tout de suite ! Je suis un peu surpris par sa demande : Camille, elle, aime beaucoup quand je prends mon temps, et Léna et Anna semblaient ...
    ... plutôt pareilles. Mais après tout, qu’est-ce que je sais vraiment de ce qu’aime Camille ? Et quant aux autres, je n’ai eu l’occasion d’avoir des rapports sexuels qu’une fois avec chaque... Là encore, je ne cherche pas à réfléchir ni encore moins à comprendre : j’obéis. Je glisse doucement mon index dans sa chatte, puis je commence à la doigter tout en la léchant. Son sexe est trempé, l’intrusion est donc aisée. Puis, à mesure que le rythme de mon (puis mes) doigts s’accélère, elle ne tarde pas à manifester de plus en plus bruyamment son contentement. Bientôt, je sens son vagin se contracter autour de mes doigts, tandis que ses cris retentissent sans retenue. Je suis parvenu à l’emmener à l’orgasme assez rapidement, ce qui me rend très fier de moi. Peut-être que c’est vrai, que je suis vraiment doué de ma bouche ?! Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle ne tarde pas à me congédier. Alors que je suis sur le point de franchir la porte, elle me lance une dernière phrase : — Je crois que Léna a raison, tu iras loin dans cette université ! Malgré ma situation actuelle, cette phrase me remplit d’espoirs. Le tunnel dans lequel je me trouve aura sans doute une fin et, qui sait, la lumière au bout sera peut-être effectivement éblouissante ! 
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