1. Mal de mer


    Datte: 06/07/2018, Catégories: ff, fhh, cocus, Collègues / Travail bateau, Oral préservati, Partouze / Groupe confession,

    ... trompé. Enfin, jusqu’à aujourd’hui. Je m’étais décidée à lui faire ce cadeau, cette promotion dont il rêvait, et pour cela j’ai fait ce qu’il fallait. Vous avez compris tout de suite que je pouvais payer de ma personne. Mais je ne m’attendais pas à ma réaction. Bien sûr, Pierre, je dois vous reconnaitre un talent certain qui m’a déstabilisée, mais aussi et je m’excuse de diminuer vos mérites de toute cette ambiance : le bateau, savoir que John n’était qu’a quelque mètres alors que j’étais avec vous, le bruit de la mer, le balancement du bateau, et aussi je vous soupçonnais, chère Anne, de savoir ce qui se passait alors que votre mari proposait de me montrer je ne sais plus quel objet rare. Tout a contribué à… à m’exciter bien au-delà que je ne pensais. J’ai honte, non pas d’avoir couché pour mon mari, mais du plaisir que j’en ai retiré. Waouh ! Léa n’est pas bavarde d’habitude. Que dois-je penser de cette tirade ? Ne dois-je retenir que son amour et tout ce qu’il implique ? Ou bien les aveux d’une courtisane emportée par ses sens ? — Vous pourrez remercier votre mari, dit mon patron. C’est grâce à son éducation que nous allons vous proposer un deal.— Je ne suis pas certaine qu’il apprécierait ce compliment, surtout s’il savait dans quelles conditions sa formation a été reconnue… répond ma femme, un sourire figé aux lèvres.— Oh, ma chère Léa, vous seriez étonnée par le nombre de maris qui apprécieraient. Aussi, ceux qui envoient leur femme pour coucher avec un responsable ...
    ... et obtenir un poste.— Mais, jamais John ne m’a demandé cela. C’est moi toute seule qui…— Pourtant vous m’avez bien dit qu’il en parlait souvent, de cette promotion.— Très souvent. C’est pour cela que je…— Vous n’avez jamais pensé qu’en le faisant, il instillait cette idée sans en avoir l’air. Non. Ce n’est pas vrai. Jamais cette idée ne m’a effleuré. Jamais je n’aurais demandé directement ou indirectement à Léa de coucher avec un autre pour moi. Mais en réfléchissant, je crois que je n’en aurais pas parlé, surtout de peur de la choquer et de paraître à ses yeux comme un "mac" sans scrupule. Mais il est évident que Pierre essaie de troubler ma femme en parlant de cette option. — Jamais. Jamais John n’aurait demandé…— De toute façon, cela n’a pas d’importance. L’important, c’est que vous soyez là avec nous.— Vous avez parlé d’un deal ; c’est quoi ?— C’est très simple. Demain, nous allons accoster, et un très important client va monter à bord. C’est un amoureux de la France, de la culture française, du luxe français, mais un terrible négociateur. Aussi je vais vous présenter comme ce que vous êtes, la femme d’un collaborateur, et je compte sur votre présence pour le perturber un peu et faire tomber ses défenses. Vous voyez, rien de bien difficile pour une belle femme comme vous. Cela paraît trop simple, trop anodin. Est-ce que Léa se doute, comme moi, que mon patron attend bien plus qu’une présence ? Je ne sais pas, mais sa réponse me surprend. — Si votre client est comme vous ...
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