Le joli mois de mai - troisième partie.
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... m’amènent juste au bord du plaisir, sans jamais me faire franchir cette frontière invisible entre le plaisir et l’orgasme. En dépit de sa jeunesse, Lisa s’avère être une suceuse de première. Afin de ne pas me laisser surprendre par la jouissance qu’elle m’amène à tutoyer, je ralentis son rythme effréné en lui prenant les cheveux de ma main droite, tout en imprimant à sa tête le mouvement de va et vient qui me permet d’apprécier l’agilité de sa bouche et de sa langue sans gicler trop tôt au fond de sa gorge. Elle m’engloutit ainsi à mon rythme, jusqu’à la garde sans rechigner et même en y prenant plaisir, comme me le montre son regard plein d’excitation. Du salon, d’autres bruits nous parviennent, moins discrets, qui ne laissent aucun doute sur l’activité de nos conjoints. Nous percevons distinctement les sons qu’il émet lorsqu’il enfonce son sexe au plus profond de sa partenaire. Le rythme chez eux aussi varie entre des tempos rapides pendant plusieurs minutes et d’autres plus lents durant lesquels, leurs râles se font plus langoureux. Parfois les gémissements de ma femme s’interrompent et j’imagine qu’elle l’embrasse comme elle sait si bien le faire, avec sa langue à la fois douce et agile. Ils alternent eux aussi les plaisirs puisque c’est au tour de Seb d’émettre des commentaires très crus : - « Oui, suce moi comme ça…vas-y c’est bon ! Suce ma bite, aspire-la, plus loin, plus loin… Oui comme ça c’est bon,… Attends… » Aux sons que nous entendons, nous comprenons qu’ils ...
... changent de position et très vite les coups de butoir de Seb reprennent comme elle aime : - « Oooh ! Oui c’est bon comme ça, tu viens profond !… » Le petit cri de surprise qu’elle a poussé à l’instant nous laisse penser que c’est par derrière qu’il la pénètre maintenant. Le rythme du claquement du bassin sur les fesses de ma femme nous révèle qu’il prend son temps pour profiter au maximum de l’étroit fourreau dans lequel il va et vient. J’imagine Christelle, prise en levrette, le dos cambré, la tête dans un des coussins du canapé, les deux mains écartant ses deux fesses musclées pour mieux s’offrir. Les sons étouffés qu’elle émet sont ceux qu’elle aura poussé à plusieurs reprise lors de ce week-end orgiaque prise par son mari, un ami et un inconnu, vivant là son fantasme le plus absolu. Lisa tout en continuant à me branler, tend elle aussi l’oreille et comprend la même chose que moi. C’est elle qui prend alors la parole, en fixant ma bite sans cesser ses mouvements. - « Tu vas me prendre par derrière toi aussi, j’en ai envie ! » Joignant le geste à la parole, elle m’attire sur le lit, m’allonge sur le dos et vient me chevaucher. Légère comme une plume, elle me regarde alors qu’elle saisit mon sexe bandé dans sa main pour le présenter tout doucement devant son anus. Je sens son petit trou me résister. Je la prends par la taille de mes deux mains et la retiens lorsque mon gland commence à l’écarter. Maintenue ainsi, elle ne peut plus m’échapper. Ainsi tout doucement, je la pénètre. ...