1. Le joli mois de mai - troisième partie.


    Datte: 07/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... À mon tour de la posséder totalement, elle s’abandonne et c’est comme un tribut qu’elle m’offre. - « Tu m’as donné tellement de plaisir depuis vendredi que je te dois bien ça. » Et effectivement je la sens qui se relâche, me permettant de la prendre en douceur sur toute la longueur de mon sexe, dur comme jamais. Elle se colle à moi maintenant et ses seins écrasés contre ma poitrine, elle vient à ma rencontre. Nous nous rejoignons, l’un allant vers l’autre. Je la prends autant qu’elle se donne, l’un et l’autre faisant la moitié du chemin qui me permet de la prendre profondément. Je vais et je viens, lentement, laissant Lisa s’habituer à la présence de ce sexe qu’elle désire depuis si longtemps. Elle commence à se détendre de plus en plus et c’est avec douceur et détermination que je glisse entre ses fesses écartées. Son anneau étroit m’enserre comme ses doigts tout à l’heure, plus chaud, plus doux. Je sens sa respiration s’accélérer, son souffle de plus en plus court dans mon cou, mêlé de gémissements de plus en plus forts. Moi aussi, je sens bien que le plaisir monte et je ralentis pour ne pas jouir trop tôt. Quittant ses hanches, mes mains encadrent son visage tendu par le plaisir et je la force à me regarder pour vérifier, mes yeux droits dans les siens, qu’elle aime sentir ma bite en elle. Ce que je vois ne me trompe pas : elle commence à prendre goût à la sodomie. Le passage que j’emprunte déjà ouvert par son mari et Nicolas durant notre orgie de la veille, se détend de ...
    ... plus en plus, jusqu’à ce qu’elle commence à manifester son contentement par des cris de plus en plus forts. Je suis en train de la faire jouir en l’enculant ! Effectivement comme je l’ai déjà vérifié durant ce week-end, pendant ses orgasmes elle se tend, retenant sa respiration, les yeux dans le vide durant les quelques secondes où elle quitte ce monde pour entrer dans le plaisir. Elle retombe essoufflée sur ma poitrine et je la laisse profiter seule de cet instant. Immobile, plongé en elle, le sexe palpitant, je patiente pour mieux profiter de cet instant. Ma maîtresse se rend compte de mon besoin de pause et me dit : - « Profites-en, je suis toute à toi et ça me plait de sentir ta bite dans mon petit cul. Tu veux jouir avec moi ? » Et c’est donc à sa demande que je reprends mon va et vient. Mon rythme s’accélère, mon amplitude aussi. Je sors presque d’elle à chaque fois avant de replonger en la soulevant. Mes deux mains écartent ses fesses au maximum tout en les malaxant. Je sens ses muscles se contracter à mesure que je la pilonne. Elle aime, recommence à gémir, à me dire que c’est bon jusqu’à ce que n’y tenant plus je me vide à longs traits en elle. Mon sperme jaillit et la remplit dans une étreinte finale durant laquelle elle me rejoint en criant. Sans capote, toute ma semence contenue se répand dans cet étroit fourreau. Reprenant nos esprits nous réalisons que dans l’embrasure de la porte ma femme et mon ami nous regardent sourire aux lèvres. - « Et voilà, on ne peut pas ...