Marion ; une veuve, une maman (10)
Datte: 07/07/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Marion avait défait son chignon, s’était démaquillée, mais elle était encore habillée ; elle n’entendit pas son fils qui approchait, sursauta quand il l’enlaça. Il lui mordilla l’épaule, lui empauma les seins par dessous. Elle se retourna, prit son visage entre ses mains, se pencha vers lui les lèvres entrouvertes. Ils s’embrassèrent avec la même fougue, la même urgence un peu gauche que deux amants privés trop longtemps. Il passa les mains sous sa robe, les glissa dans sa culotte ; il lui agrippa les fesses, les fit rouler sous ses doigts. Il l’entraina, trébucha, tomba assis sur le lit ; il enfonça le visage dans son ventre en la maintenant par le cul. Elle se dégagea, recula, le toisa ; elle dégrafa sa robe, se tortilla jusqu’à ce qu’elle tombe à ses pieds. Le porte-jarretelle, la culotte en dentelle, les bas de soie, les seins dans les bonnets pleins... — Oh, maman ! C’est pour moi, tout ça ? — Sois gentil, mon chéri, tais-toi. Il la prit par la taille, l’attira, cueillit son derrière dans ses mains, le soupesa, et puis, n’y tenant plus, il se leva d’un bond et se déshabilla. Il se laissa tomber sur le lit, avec sa mère dans les bras. Il s’attaqua au soutien gorge. Il était impatient, il tremblait. Il était maladroit, pourtant il parvint à dégrafer le mécanisme compliqué. L’attache céda, la lourde poitrine fut libérée. Les gros seins blancs jaillirent. Ses tétons pointaient. Il tira sur sa culotte, plusieurs fois, la déchira. Marion cria. Elle n’avait plus que ses ...
... bas, attachés au porte-jarretelles qu’il avait épargné. Elle avait conservé ses talons aiguilles aux pieds. Elle était nue sur le lit, avec lui, nu aussi. Ses seins. Sa chatte. Son cul. Tout était à lui. Toute la nuit. Elle voulut éteindre la lampe de chevet, mais il l’arrêta. — Non ! Laisse la lumière allumée... Je veux pouvoir te voir ! Ecarlate, haletant, il lui monta dessus. Il chercha tout de suite à la pénétrer, mais sa queue buta sur le sexe dont il ne trouvait pas l’entrée. Il se démena, se trémoussa, sans plus de succès. — J’y arrive pas, maman, pleurnicha-t-il, humilié de se montrer si empoté. Ses craintes étaient fondées : il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait, mais il était incapable de la baiser. Marion avait imaginé que ce moment, si important pour lui, se passerait en douceur, avec de la complicité et beaucoup de tendresse. Elle ne voulait pas qu’il conserve de sa première fois le souvenir d’un rapport qui ne serait qu’animal, un coït bestial. — Calme-toi... regarde-moi... tu es trop énervé ! Il avait un regard de fou. Il était si excité qu’elle n’osait pas le toucher, ne savait pas par où commencer. Elle s’installa dans le même axe que lui, écarta les cuisses, le guida du bout des doigts. Mathieu sentit son gland entrer dans une matière molle et gluante ; sa mère mouillait tellement qu’il eut l’impression d’être aspiré tout entier, quand sa queue glissa au fond du vagin. — Oh, maman, comme tu es chaude dedans... C’est bouillant ! Marion hoqueta de surprise, ...