1. Marion ; une veuve, une maman (10)


    Datte: 07/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... Quand elle était mariée, elle s’était fait poser un stérilet ; son mari avait, à l’époque, un gros appétit sexuel, et deux enfants leur suffisaient. Elle allait devoir s’en faire poser un à nouveau, mais pour éviter de se faire engrosser par son enfant cette fois... Elle chassa ses vilaines pensées. Il lui avait donné beaucoup de plaisir, elle se sentait d’humeur câline. Ils restèrent côte à côte, s’enlacèrent, se caressèrent, s’embrassèrent, coupables mais comblés. — Allez, mon chéri, sois gentil, retourne dans ton lit maintenant. — Je veux dormir avec toi, maman. — Sois raisonnable, mon poussin... tu sais bien que si tu restes avec moi, nous ne dormirons pas ! Sa remarque le toucha en plein cœur. Elle lui parlait comme à un amant performant, pas comme à un fils. Elle se leva, fit quelques pas, toujours juchée sur ses talons hauts ; il admira son cul charnu, les belles fesses qui tremblaient quand elle avançait. Elle entra dans la salle de bain, fit couler de l’eau, revint une fois rafraichie. — Je t’en prie, Mathieu, ne fais pas d’histoires... S’il te plait ! Il lui obéit à regret, sortit de son lit, regagna le sien. Il la regarda se déchausser, dégrafer le porte-jarretelles, enlever ses bas avec des gestes lents, d’un érotisme troublant. Elle entra toute nue sous les draps, lui souhaita bonne nuit, éteignit la lumière. Ils s’endormirent aussi rapidement l’un que l’autre... Il se réveilla en nage. Il pensa tout de suite à sa mère, à ce qu’ils avaient fait. Il s’assit sur ...
    ... son lit, cligna des yeux pour s’habituer à l’obscurité ; il distingua, dans la pénombre, sa silhouette endormie. Il se leva, alla pisser, puis entrebâilla les volets pour que la lumière du jour pénètre dans la chambre. Il s’approcha du lit, tira doucement sur le drap. Certains hommes se pâment devant les belles voitures, d’autres ont des passions plus secrètes ; Mathieu réalisa que rien n’égalerait jamais le spectacle qu’il avait sous les yeux. Le corps de sa mère était la plus belle chose au monde à ses yeux, le plus puissant aphrodisiaque dont il puisse rêver. Il agissait sur lui comme la plus addictive des drogues récréatives. Il en était accro et voulait le rester le plus longtemps possible, ne jamais en être désintoxiqué. Elle dormait sur le ventre. Il referma ses doigts autour des chevilles délicates, lui écarta les jambes. Elle ne réagit pas. Il pouvait distinguer, derrière la touffe de poils emmêlés, la fente qui baillait. Il se laissa tomber sur le lit, rampa entre ses cuisses, approcha son visage de la vulve. Elle sentait fort. Sa chatte exhalait un parfum obsédant. Il la gouta du bout de la langue, lécha la chair intime, trouva la saveur exquise aussi. Elle se réveilla. hcghaavo — Mathieu ? Mais qu’est-ce que tu fais ? Qu’est-ce qui te prend ? Je n’ai pas fait ma toilette... je suis sale... tu es dégoutant ! — Mais non, maman, au contraire... tu es succulente ! Elle l’implora mais ondula pourtant, comme si, malgré ses dénégations, elle n’attendait que ça. Elle gémit ...