1. Aurélie 5


    Datte: 07/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de l’apprêter. Maquillage léger, coiffure en chignon, elle fut bientôt prête.- Sors mon ensemble string et soutien-gorge balconnet bleu. Je mettrai mon pantalon en lin et mon tee-shirt bleu sans manche.- Bien maîtresse.En me baissant pour lui passer son sous-vêtement, je ne pus m’empêcher de respirer son odeur. Au niveau de son entrejambe je pouvais distinguer les lèvres roses de sa chatte, et je m’attardai un moment à les contempler.- Tu vas rester longtemps comme cela, me demanda-t-elle d’une voix rieuse.- Excusez-moi, maîtresse.Et je fis remonter le string sur ses cuisses. Je passai derrière elle pour ajuster la ficelle dans la raie des fesses, puis je lui passai le soutien-gorge. Je ne pus, là aussi, m’empêcher de palper délicatement les globes, sous le prétexte d’ajuster le vêtement à sa poitrine.- C’est étrange, me dit-elle, que tu saches aussi bien t’occuper de mes seins, toi qui n’en a pas.Cette remarque me mortifia et m’excita à la fois. Il est vrai qu’avec mon petit quatre-vingt-cinq A, je ne pouvais rivaliser avec sa fabuleuse poitrine. Lorsque j’eus fini de la vêtir, elle m’envoya dans mon réduit, afin que je m’habille également. En passant mon corsage, je ne pus m’empêcher de constater que la transparence du tissus permettait de vois mes seins, leurs marques de cravache et la présence de mon corset. Lorsque je levais les bras, mes petits seins se voyaient par l’échancrure de mes emmanchures. Je passai ensuite la jupe, toujours aussi courte, à mi-cuisses. Je ...
    ... savais qu’en me penchant, j’allais dévoiler la totalité de mon intimité aux invités de ma maîtresse. Tout cela m’angoissait et m’excitait en même temps, témoin, l’humidité que je sentais sourdre dans ma chatte. J’enfilai mes ballerines et vint me présenter devant ma maîtresse.- Tu es magnifique, me dit-elle, tu vas faire sensation. N’oublie pas les consignes : ne jamais plier les genoux pour faire le service, ne jamais refuser quoi que ce soit de mes invités, compris ?- Oui maîtresse.- Si l’un d’eux fait une seule remarque désobligeante, tu seras aussitôt fouettée, compris ?- Oui maîtresse, n’ayez crainte, vous serez fière de moi.- Je l’espère. Allez, il est l’heure, va te mettre en place.Je sortis sur le palier, laissant la porte entre-ouverte et j’attendis que l’ascenseur veuille bien déposer les invités de ma maîtresse. L’angoisse de savoir, mais aussi l’excitation d’être ainsi montrée se battait en moi. Je n’eus pas longtemps à attendre sur le palier. Au bout de cinq minutes, j’entendis l’ascenseur s’arrêter à l’étage et les portes s’ouvrirent sur une jeune femme que je reconnu immédiatement. Solène, une de mes collaboratrices. Mon cœur manqua un battement. La jeune femme avait toujours l’air timide lorsqu’elle s’approcha de moi.- Bonsoir, madame, lui dis-je d’une voix mal assurée, bienvenue chez ma maîtresse, madame Véronique.Je me retournai et ouvrit la porte pour la faire entrer. Je lui retirai son manteau et lui fit signe d’aller dans le salon. Si elle me reconnut, elle ...
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