1. Une leçon d'histoire naturelle


    Datte: 08/07/2018, Catégories: fh, fagée, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, zoo, délire, humour,

    ... ému par cette scène, vous avez pollué votre caleçon, vous devrez patienter un peu avant d’être en état de vous répandre dans le réceptacle humidifié de votre collaboratrice. Mais qu’elle se relève d’abord et dépose l’oiseau en lieu sûr. Qu’elle s’éloigne du phoque, qui n’a probablement pas obtenu totale satisfaction. Qu’elle s’agenouille à nouveau devant vous, qu’elle déboutonne votre braguette, qu’elle saisisse les instruments de sa passion, qu’elle approche ses divines lèvres de ce que vous avez de plus précieux (hormis cependant, soyons objectifs, divers organes indispensables à la vie) qu’elle les entrouvre, ses lèvres pulpeuses. Ah ! ce n’est plus de pipette qu’il s’agit désormais ! Alors hagarde, folle de son corps car folle de vous, elle ne tardera guère à se relever pour empoigner ce qui l’intéresse au premier chef afin de vous tirer vers le canapé de vieux cuir, fierté discrète de votre laboratoire. Vous tituberez, les jambes empêtrées dans votre pantalon baissé. Dégagez-vous ! Qu’il gise sur le sol, ce vêtement superflu ! Que votre caleçon le rejoigne ! Et aussi votre chemise ! Et même votre marcel si vous en avez un (ce que je vous déconseille, encore que certaines libertines disent en raffoler, en raison de sa connotation « mains calleuses, sueur virile, prolétaire musclé, langage vigoureux, etc. »). Vous êtes nu. Rentrez donc un peu le ventre. Votre gland heurte votre nombril, ou l’espace situé juste entre vos petits tétons si vous êtes particulièrement gâté par ...
    ... la nature. Ou votre entrejambe si… mais chassons cette déplorable hypothèse, car vous êtes un taureau affamé de stupre et votre collaboratrice est là, pantelante, offerte. Arrachez son corsage, elle aura bien le temps de recoudre les boutons chez elle, elle y est mariée depuis six ans ! Si elle a un soutien-gorge, n’hésitez pas à le dégrafer. Cela se pratique souvent dans le dos, c’est un coup à prendre, il faut parfois faire pivoter légèrement une petite pièce de plastique. Si vous êtes impatient, soyez véhément et tirez fort, ça viendra. Qu’a-t-elle besoin de cet oripeau, au demeurant ! Ses seins sont superbes puisqu’ils vous plaisent, du moins pour le moment. Sa jupe vient de tomber en corolle autour de ses chevilles. Oh ! Le délicieux minou ! Agrémenté de poils follets, rarement blonds mais parfois bouclés. Ou peut-être dissimulé sous une épaisse et odorante toison. Ou glabre, pourquoi pas ? Mais alors surmonté du ticket de métro, pour un voyage au septième ciel. À genoux ! Que votre langue se fraye un passage, qu’elle taquine le bourgeon qui se gonfle ! Qu’elle lèche de bas en haut, de haut en bas, qu’elle lape ! Gorgez-vous du divin suc de la femme ! Mais elle vous supplie de la prendre en vitesse. Vous êtes son chéri, son grand fou, son amour adoré. Allongez-la sur le cuir. Il est probable qu’elle écartera les cuisses sans que vous ayez besoin de le lui suggérer mais, en cas de besoin, n’hésitez pas à saisir ses genoux de vos deux mains et ouvrez largement le compas. ...
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