1. La confirmation


    Datte: 24/07/2017, Catégories: fh, fhh, hplusag, extracon, voisins, campagne, danser, fête, humilié(e), jalousie, 69, pénétratio, fsodo, amourdram,

    ... Jean-Pierre était une fille bien, qui « faisait avec » pour protéger ses enfants. Elle se contentait de bloquer les ardeurs de son mari vis-à-vis d’autres femmes en sa présence. Elle savait bien que la restauration de la ferme lui servait aussi de couverture pour y aller sans elle et inviter des "amies". Pas de bol pour moi, l’élue du moment était mon épouse. Mais au moins, la présence de Michèle me permettait d’être plus tranquille et de pouvoir dérouler mon plan. Le mari d’Yvette ayant déserté les lieux pour s’intéresser au fonctionnement d’un vieux four à pain, j’en profitai pour pousser mes avantages lorsque le moment des slows arriva. J’attirai Yvette contre moi. C’était une pulpeuse fille, douce et rieuse, un peu plus "ronde" que Carole. Elle se laissa aller contre moi. On ne parlait plus. Je sentis la chaleur et la douceur de son corps. J’osai une main baladeuse sur ses fesses. Elle ne protesta pas, bien au contraire, et me murmura un « coquin » à l’oreille. Nos bassins se rapprochèrent encore plus. Elle ne pouvait plus ignorer mon désir. Maintenant c’était elle qui ondulait des hanches contre moi. Difficile d’aller plus loin ici. La musique s’arrêta. On se regarda. Je l’entrainai doucement dehors sur les escaliers. Nous n’eûmes pas le temps d’échanger une parole que Carole apparut sur le perron. — Vous avez raison de venir là, c’est si chaud dedans. Un peu d’air frais ça fait du bien.— …— C’est une super soirée. Non ?— (Yvette) Oui excellente. Je ne connaissais ...
    ... pas Jean-Pierre mais il sait vraiment organiser les fêtes.— (Carole) Jean-Pierre… il sait TOUT faire. Il a même réussi à dérider François. Moi « faux jeton » et ne tombant pas dans le piège : — C’est vrai que l’ambiance était excellente ce soir, d’ailleurs si on y retournait ? Au moment où l’on pénétra de nouveau dans la salle, Carole me prit le bras et me souffla à l’oreille : — Maintenant, tu t’occupes de moi. Ok ? Difficile de refuser. Je jetai un regard désolé à Yvette et je partis danser avec mon épouse. Manifestement, elle avait compris le message. Il y avait longtemps qu’elle ne s’était montrée si « collante » sur une piste de danse avec moi. Elle ne me lâcha plus jusqu’au bout de la nuit. Ce fut elle qui, d’ailleurs, donna le signal du départ en disant : — On y va… j’ai envie. Au passage elle embrassa chastement Michèle et Jean-Pierre. Michèle avait un petit sourire amusé devant la mine déconfite de son époux. J’en rajoutai en le félicitant pour la soirée. Ce soir, le vainqueur c’était moi. Et Carole manifestement aimait les vainqueurs car elle se montra aussi torride que sur la piste dès que nous nous retrouvâmes dans notre lit, au petit matin. Je ne pus que constater qu’elle s’était bien "libérée" depuis une quinzaine de jours. Malgré la proximité des autres chambres, elle se déshabilla et s’étendit nue sur ce vieux lit de campagne qui grinçait pas mal. Ouvrant les jambes, totalement impudique, elle commença à se caresser devant mes yeux médusés. Je ne résistai pas ...
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