La confirmation
Datte: 24/07/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
extracon,
voisins,
campagne,
danser,
fête,
humilié(e),
jalousie,
69,
pénétratio,
fsodo,
amourdram,
... longtemps à son appel, mais décidemment, elle avait bien changé. À peine l’avais-je rejointe qu’elle me coucha sur le dos et se mit en position de 69, chose qu’elle n’avait jamais osé auparavant. Elle embrassa doucement mon ventre pendant que ses mains me caressaient. Puis, pendant que moi aussi j’effleurais ses cuisses, sa toison brune et sa vulve, je crus rêver. Je sentis le contact de ses lèvres sur ma hampe. Mon cœur se mit à battre à tout rompre. Jusqu’où allait-elle aller ? Je continuais à l’effleurer mécaniquement, n’osant rompre le charme. La vision de ses jolies cuisses à la peau si douce, ouvertes au-dessus de moi, de cette toison brune dévoilant en son milieu une vallée rose magnifique décupla mon excitation. Doucement, ses lèvres remontèrent puis entourèrent mon gland. Pour la première fois, Carole osa me faire une fellation. Même si je connaissais la raison de ce changement je me laissai aller au plaisir sans oublier le sien. Doucement j’approchai ma bouche et ma langue de son petit bouton. J’avais essayé cette caresse une fois. Elle m’avait repoussé me disant qu’elle trouvait ça « sale ». Mais là aucune protestation. Bien au contraire, elle écarta un peu plus ses jambes et accentua sa cambrure pour mieux s’offrir. Cette nuit-là, ce ne fut pas avec la jeune fille sage, devenue la jeune épouse modèle, qui je fis l’amour. Ce fut avec une jeune femme inconnue qui prenait l’initiative et qui, manifestement, avait découvert un nouvel univers et avait de nouvelles ...
... exigences. Sans se soucier des autres, du bruit de notre lit elle me chevaucha puis s’offrit en levrette, position qu’elle jugeait trop « animale » et n’aimait pas il y a quelque temps encore. Je faillis même avoir accès à sa porte secrète, mais sans doute pour ne pas éveiller mes soupçons (si elle avait su…), elle se refusa au dernier moment mais en me promettant de me donner cet endroit lors de nos prochaines retrouvailles chez nous. On prit notre petit déjeuner sous les regards amusés des autres. La plupart des garçons me firent quelques allusions souriantes pour me féliciter de notre « santé ». Seul Jean-Pierre, à ma grande joie, faisait la gueule. Mais je me gardai bien de le faire remarquer à Carole qui semblait épanouie, elle aussi. Je la ramenai à son appartement de fonction à l’IUT. Tout semblait être rentré dans l’ordre. Je décidai donc d’essayer de l’éloigner un peu plus de Jean-Pierre en reprenant l’initiative. J’en profitai pour lui proposer d’organiser à notre tour une fête le week-end à la maison de campagne de ma belle-mère, et d’y inviter nos amis (ceux d’avant l’intrusion de JP) et parmi eux, bien sûr, Yvette et son mari. Carole accepta avec enthousiasme en me félicitant d’avoir eu l’idée de cette fête. En regagnant seul notre domicile j’étais de nouveau plein d’optimisme. La semaine qui nous séparait du week-end fut différente de la précédente. Au lieu d’un silence radio j’eus droit à deux appels téléphoniques que je m’empressai de rendre. Elle s’intéressait ...