1. La troisième nuit : jeux interdits


    Datte: 09/07/2018, Catégories: fh, extracon, jardin, 69, init,

    ... Nabil aurait du souci à se faire si tu n’avais pas une attitude irréprochable.— Je sais, me répond-elle en plaquant sa main sur celle des miennes qui continue à lui triturer les fesses et en accompagnant mon mouvement, heureusement pour lui il est tombé sur une fille bien avec moi, il n’a pas de crainte à avoir. De ma main qui palpe sa jambe, je lui relève la cuisse et la positionne pour qu’elle entoure ma taille, puis je soulève légèrement son corps et, alors que sa seconde jambe rejoint la première, je positionne fermement mes mains sous chacune de ses fesses et la transporte jusqu’au mur du jardin à quelques mètres de là. Dans les films c’est un jeu d’enfant, dans la réalité, de nuit, dans un jardin, c’est tout de suite plus compliqué et je manque de peu de nous écraser tous les deux contre le sol lorsque je trébuche sur un arrosoir d’enfant en plastique vert pomme qui traîne entre deux mottes de terre. Je ravale un juron et Saoussen s’esclaffe un peu bruyamment avant de me dire d’une voix narquoise : — Alors Kamal,ma3endekch qouwa oula wesh ? Za3ma radjel. Je pensais que tu étais plus fort que ça… Les hommes sont basiques, même si l’on sait qu’il ne s’agit que d’ironie et d’une petite taquinerie provocante il nous est parfois difficile de résister à prouver notre valeur de mâle, surtout dans une situation aussi ouvertement érotique. Je me rétablis fermement sur mes jambes et accomplis à grands pas le reste du court trajet me séparant de la paroi. J’y plaque brutalement ...
    ... Saoussen en poussant un grognement rauque et néandertalien, je m’arrange toutefois pour ne pas lui éclater le crâne contre le béton, un peu de retenue reste nécessaire, on a évolué depuis l’époque de la guerre du feu et de la grotte de Lascaux. Je l’entends néanmoins expulser brusquement un peu d’air de ses poumons sous l’effet de la violence du choc. Je m’en inquiète un peu, interromps les pressions alternées de mon sexe contre son pubis et m’apprête à lui demander si tout va bien quand elle lève sur moi un regard de pur désir exacerbé : — Ce n’est pas en me brutalisant que tu auras quoi que ce soit, tu sais, reprend-elle, tu ne me fais pas peur, j’ai bien l’intention de me réserver pour Nabil. Et elle fait descendre sa main entre nos deux corps imbriqués, s’empare de ma bite à travers le tissu de la gandoura et commence à y exercer une douce pression qui me prend totalement au dépourvu. Elle est véritablement très investie dans son rôle de fausse ingénue et semble décidée à pousser ce petit jeu du « je dis une chose et je fais son contraire » jusqu’au bout. Sa caresse commence rapidement à se transformer en une lente masturbation de mon sexe bandé et je sens ses doigts qui se serrent et se desserrent sur ma queue au rythme des allers-retours de son bras. Mes doigts se crispent sur son fessier et je colle à nouveau mon bas-ventre au sien pour m’y frotter pesamment. Dans le même temps, j’enfouis ma bouche dans le creux de son cou et commence à le flatter du bout de la langue. ...
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