La troisième nuit : jeux interdits
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
jardin,
69,
init,
... lit hier soir, dis-je alors. Je t’ai entendu parler deKahba, dezob, dechikour, denik. Et ça avait l’air de t’exciter à ce moment-là.— Salaud, tu m’as espionnée… aaaah… mmmmh… hier soir pendant que j’étais dans ma chambre… oui… mmmmh Tout en me parlant, je sens la vitesse de sa main sur mon sexe qui s’accélère, ça a l’air de lui plaire de savoir que j’ai été témoin de ses émois nocturnes de la veille. Je décide donc de jouer le jeu à fond. — Ça m’a tellement fait bander de t’écouter, te toucher en parlant comme ça que je me suis même branlé dans le couloir, derrière la porte, en imaginant tes mains entrer et sortir de ta chatte et pincer ton clitoris, avoué-je en accentuant la pression de ma main sur son entrejambe brûlant et en étant vulgaire à dessein.— Aaaah… ouii… tu n’es qu’un sale pervers… ça t’excite d’espionner unebint familia comme moi… oooohh… tu devrais… avoir… honte…3ib a3lek !— On dirait que ça te plaît pourtant, tu sembles de plus en plus réactive, souris-je en réponse En effet, sous l’effet de notre dialogue la masturbation de Saoussen se fait de plus en plus empressée, ce qui n’est pas sans douleur de mon côté étant donné que mon membre qu’elle tient empoigné frotte vigoureusement contre le tissu ce qui me cause par moment de légères sensations de brûlure. Au bout de quelques nouvelles minutes sous ce traitement, et pendant lesquelles ma position devient de plus en plus inconfortable, je me décide à reposer Saoussen au sol. À peine a-t-elle posé les pieds à ...
... terre que mes mains remontent sous sa robe et viennent chacune prendre possession d’un de ses seins. Ils sont à la fois chauds, fermes et tendres sous ma peau et je sens la raideur de ses tétons sous mes doigts empressés. Ils les massent, les roulent, les triturent, les tirent et Saoussen, les yeux fermés et la bouche ouverte exhale bruyamment son plaisir en petits cris rauques continus. — Aaah… Aaa… Ann… Ça te plairait hein… que… aïe… que je sois uneKahba hein Kamal. Est-ce que tu penses que j’en suis une ? Ses gémissements sont parfois alternés de petits cris de douleur quand je lui tire un peu plus fort sur les mamelons ou que je lui en griffe la peau, beaucoup plus sensible en cet endroit, à la pointe de mes ongles pourtant coupés courts. Et j’aime ça, ça m’excite à un point inimaginable, je ne pense pas avoir un attrait particulier pour le SM ni la douleur pendant le sexe, mais la savoir à ma merci, appréciant la dureté, toute relative, de mon traitement, mouillant sa culotte de l’excitation que je lui procure, prête à se laisser aller comme la dernière des salopes entre les bras du mari de sa meilleure amie, tout cela me donne l’envie de la maltraiter de la faire souffrir pour lui rappeler qu’elle se comporte comme une chienne de bas-étage malgré les apparences respectables qu’elle se donne. Pardon ? Vous trouvez que mon rôle n’est pas glorieux non plus, que je trahis mon épouse et mes engagements envers elle ? Que si c’est une chienne, je suis bien plus un canidé qu’elle ...