Rencontre
Datte: 09/07/2018,
Catégories:
fh,
volupté,
intermast,
Oral
pénétratio,
... haussant les épaules. « Elle n’est pas pour toi, se dit-il ». En attendant l’heure de son train, il en profita pour repérer les librairies du coin. Arrivé chez lui, il ne peut s’empêcher à la jeune femme si naturelle, si spontanée, si jolie. Le lendemain, il arriva à l’établissement un peu en avance. D’ailleurs, il avait horreur d’arriver en retard. Comme promis, il attendait Brigitte. Il voyait les stagiaires prendre possession de la salle. L’heure du cours allait arriver à grande vitesse. Il semblait qu’elle arriverait en retard. Il avait envie tout à la fois de l’entendre et d’entrer dans la salle. Un coup d’œil à sa montre et il décida d’entrer dans la salle de cours. Il choisit une place et en réserva celle à sa droite. Effectivement, elle arriva avec une petite heure de retard ce qui lui attira une remarque mi-amusée, mi-réprimande de la part de l’animateur. Elle ne put s’empêcher de rétorquer quelque chose qui fit rire toute l’assistance. Un peu moins l’animateur. Elle chercha des yeux une place. Bernard lui fit signe. Elle le rejoignit. — Merci pour la place. Ma collègue était en retard !— Pas de problème. Le cours commença. Bernard eut quelques difficultés à suivre. Non pas que le sujet fut plus difficile mais Brigitte le distrayait avec des questions, avec des précisions sur des aspects qu’elle ne comprenait pas. Elle se fit même rappeler à l’ordre. Ils déjeunèrent de nouveau ensemble. L’après midi ressembla à la matinée. Bernard était de plus en plus distrait ...
... par Brigitte. Il commençait à se faire du cinéma. D’un naturel timide, il laissait les évènements se dérouler. En fin d’après-midi, ils se séparèrent pour prendre l’une la voiture, l’autre le train. Le lendemain était le troisième et dernier jour du stage. Il le regrettait un peu. À force de la côtoyer, d’apprécier sa façon d’être, il se disait qu’il faudrait qu’il trouve du courage pour lui proposer de la revoir. Pour ne pas déroger à la règle, elle arriva en retard. Ce qu amusa une fois de plus tout le monde. Cette journée ressembla à la précédente, à un détail près : elle lui annonça qu’elle rentrait par le train, sa collègue partant dans une direction opposée. Intérieurement, il est était content de ce moment prolongé. Le fait qu’ils étaient toujours l’un à côté de l’autre fut remarqué. Il s’en aperçu et à quelque part, il ne fit rien pour les détromper. Cette situation ambiguë l’amusait et lui plaisait. La fin de la journée arriva. Tous les stagiaires se saluèrent, échangèrent leur adresse professionnelle ou leur téléphone, remercièrent l’animateur. Et chacun partit de son côté. Enfin presque. Bernard et Brigitte avaient deux heures d’attente pour avoir leur train. — Il y a quelque chose à voir dans le coin ? demanda-t-elle— Oui : la pépinière. Avec ce beau temps on peut s’y promener.— D’accord. Ils quittèrent le bâtiment et se dirigèrent vers le parc. Les allées bordées de roses trémières blanches leur faisaient une haie d’honneur. — Vous savez, j’aimerai bien que l’on ...