-
Rencontre
Datte: 09/07/2018, Catégories: fh, volupté, intermast, Oral pénétratio,
... Protocolairement, il lui serra la main ne voulant pas montrer au conducteur l’existence d’une quelconque intimité. Par contre, Brigitte, tournant le dos au chauffeur, ne se priva pas d’un clin d’œil fortement appuyé. Il regarda la voiture repartir et croisa le regard de Brigitte. Il regagna son appartement avec des idées folles dans la tête. Il se demandait bien comment cela allait évoluer. Une fois dans l’appartement, il se rendit compte qu’il fallait absolument soulager cette tension qui lui transformait le bas ventre en feu. Il s’allongea sur son lit et s’offrit un « cinq contre un » comme jamais il n’en avait jamais fait. Après un passage dans la salle de bain, il se dit qu’il fallait qu’il garde le contact. Il décida de lui écrire un petit mot sur une carte qu’il glissa dans une enveloppe avec comme mentions son nom et le mot « personnel » et il la glissa dans une autre enveloppe qu’il libella à son nom et au nom de la société où elle travaillait. Deux jours passèrent sans nouvelle. Il rentrait à pied chez lui, après son travail, tout en pensant que la séquence des baisers de la Pépinière de Nancy ne se renouvellerait pas. Il était à cinquante mètres de chez lui quand la vue d’une silhouette le tira de ses pensées. Brigitte était devant chez lui et semblait attendre. Il accéléra le pas et se porta à sa hauteur. — Hello ! appela-t-il— Bonjour. Je peux m’inviter chez toi ?— Mais bien sûr ! La course de l’ascenseur jusqu’au cinquième lui sembla plus courte que ...
... d’habitude. Il faut dire que c’était la première fois qu’il rentrait chez lui en embrassant une jolie femme. À peine entrés dans l’appartement, ils s’assirent sur la banquette du salon. Ils se regardèrent quelques secondes dans les yeux. Les deux visages se rapprochèrent, fusionnèrent grâce à un langoureux baiser. Mais cette fois-ci, les mains participèrent à l’exploration des corps. Alors que d’une main Brigitte caressait la nuque de Bernard, l’autre parcourait son dos, en un large geste long. Bernard lui avait passé son bras droit autour des épaules. Sa main gauche lui caressait doucement la tempe droite, se laissait glisser à effleurer la joue lisse et douce, massait le cou d’un mouvement léger. Elle descendit sur le petit triangle de peau que laissait l’échancrure du chemisier. Il abandonna cette partie pour se posait sur le sein droit. Malgré la protection du chemisier et du bonnet du soutien-gorge, il sentait durcir le téton et gonfler le sein. Brigitte se libéra de son étreinte pour reprendre son souffle. Elle le regardait avec des yeux pétillants. Elle se pencha pour lui déposer un baiser dans le cou. Elle se releva une nouvelle fois en lui disant : — Tu es sûr que tu veux garder ta chemise ?— Tu as raison, dit-il tout en se dépêchant d’enlever son vêtement. A peine la chemise par terre, elle posa ses lèvres sur son torse dont elle parcourut toute la surface disponible de ses lèvres. Tout en la laissant faire, il lui caressa sa chevelure pendant que son autre main essaya de ...