On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (10)
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
Erotique,
... mois, que mon choix était déjà fait : C’était Carole. Elle tenait à moi disant ou faisant certaines choses qui ne me plaisaient pas mais c’était pour mon propre bien. Elle était aussi, des deux jumelles, la seule avec qui je pourrais avoir d’autres enfants. Malgré tout, au lit elle n’avait pas l’imagination de sa sœur. J’ai alors installé une caméra dans ma chambre et j’enregistrais nos ébats avec Karen. Ensuite, je demandais à Carole de regarder et d’essayer de s’en inspirer pour les nuits qu’elle passait avec moi. Au fur et à mesure, elle s’est améliorée, sans arriver au même niveau que sa sœur mais c’était nettement mieux. Elle avait fini par développer son propre style en striptease et même si elle n’aimait pas ça au début, elle commençait à prendre goût à la sodomie. Le rapport de force entre les deux sœurs commençait à s’inverser. Au lit, elle prenait du plaisir à se lancer dans des petits jeux de rôle. Quand je la prenais en missionnaire et que je la regardais dans les yeux, il y avait dans son regard quelque chose que ça sœur n’avait pas : Le même genre d’étincelle indescriptible que ma mère avait et que mon père m’avait décrite quand elle était tombée amoureuse de lui. Ce rapprochement, moi et Carole nous en avions conscience même sans en parler ouvertement et au lit, nos ébats fougueux témoignaient de la passion et des sentiments que nous avions l’un pour l’autre. Malheureusement Karen avait aussi remarqué que ma préférence allait vers sa sœur et elle ne comptait ...
... pas la laisser remporter la victoire. Des évènements m’ont finalement forcé à faire mon choix plus tôt que prévu. Ça s’est passé un jour alors que j’étais au travail. Nous avions une réunion avec mes supérieurs et les autres chefs d’équipe. L’un de nous était pressenti pour avoir une promotion et j’avais toutes mes chances. C’est durant cette réunion qu’une des hôtesses d’accueil du service est arrivée en catastrophe. Visiblement une violente dispute avait éclaté entre mes deux femmes. Les cris et les bruits qu’elles faisaient étaient si forts que mes voisins, un couple bourgeois à la retraite, a tenté d’intervenir. Voyant que personne n’ouvrait, ils ont appelé la police et ont essayé de m’appeler. Quand je suis indisponible pour le travail, j’ai un message d’attente avec un numéro relai à appeler en cas de « grosse urgence ». C’est comme ça que l’hôtesse a eu le message. Je me suis excusé auprès de mes collègues, abandonnant toute chance de nouvelle promotion et je suis parti très vite chez moi. Quand je suis arrivé, les flics étaient déjà là et avaient forcé la porte. Mes deux femmes étaient là, l’une assise sur le canapé et l’autre dans un fauteuil. Curieusement elles étaient habillées pareil ce qui n’arrivait jamais et elle portait chacune des traces de lutte. Carole était plutôt Jeans et T-shirt alors que Karen était plus provoquante avec des minijupes et des chemisiers col ouvert, mettant en valeurs ses formes. Ce jour-là, je les ai retrouvés habillée de la même manière, ...