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On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (10)
Datte: 10/07/2018, Catégories: Erotique,
... façon Carole. J’ai bien compris ce qu’il s’était passé. Karen avait surement voulu prendre la place de sa sœur pensant que je ne verrai pas la différence. Une bagarre aurait éclaté entre elle. C’est là qu’un gendarme m’a approché. — Bonjour, monsieur. Vous êtes M Grimbert ? — Oui c’est moi. On peut me dire ce qu’il se passe ? — D’après ce que j’ai compris ces deux femmes sont votre compagne et sa sœur. Est-ce exacte ? — Oui j’ai découvert l’existence de ma belle-sœur peu de temps après la naissance de mon fils. Elle était en galère et j’ai accepté qu’elle loge ici le temps de trouver autre chose. — Ces deux furies étaient en train de se battre violement. Les voisins ont appelé pour se plaindre et on a dû les séparer. Chacune prétend être votre compagne. J’étais dans la merde. A cause de ces deux-là, je risquais gros. Il était évident que Karen était derrière tout ça. Elle m’avait bien fait comprendre que j’étais « son mec » et qu’elle ne laisserait personne nous séparer. Carole, quant à elle, était trop timorée et pas assez audacieuse pour tenter de prendre la place de sa sœur sauf si on lui force la main. Moi de mon côté je savais que karen était plus attachée au confort de vie que je lui apportais. C’est alors que je contemplais le désordre et l’état dans lequel les deux sœurs étaient que le gendarme me rappela. — Monsieur ? Vous êtes avec nous ? — Oui …. Oui, oui je suis là. J’étais juste sidéré de les voir comme ça. — Bon, …. Très honnêtement, nous sommes incapables de ...
... faire la différence entre elle. Si elles prétendent toutes les deux être votre femme c’est que l’une essaye de remplacer l’autre : votre belle-sœur. — Ça me désole mais c’est surement le cas. — Alors dites-moi. Laquelle est votre femme ? Bon bah il fallait que je choisisse, ne serait-ce pour ne pas me faire taxer de polygame. — Je vous avouerai que j’ai du mal à les reconnaitre physiquement. Les différences sont plutôt dans l’attitude de chacune. — Ça ne va pas aider. Surtout si celle qui veut remplacer sa sœur a travaillé son rôle. — Ma femme s’appelle Karen. Elle est la mère de mon fils qu’elle a eu par césarienne. Il n’y a qu’à regarder l’acte de naissance …. Attendez …. Le voilà. Ai-je répondu en sortant le papier de mon secrétaire, à quelques mètres. — Parfait ! Mesdames, montrez-nous la cicatrice. Au moment où j’ai dit que ma femme s’appelait Karen, j’ai vu la vraie Karen afficher un sourire victorieux qui s’est immédiatement dissipé quand j’ai parlé de la cicatrice. Carole de son côté, après un moment de frayeur n’a pas perdu de temps à nous montrer son ventre. Karen essaya bien de faire croire que c’était une cicatrice d’appendicite mais ça ne correspondait pas, anatomiquement parlant. Elle fut menottée et accusé de tentative d’usurpation d’identité et d’escroquerie pendant que Carole fut libérée. Je n’étais pas fière sur le moment mais si elles avaient su se tenir rien de tout ça ne serait arrivé. Plus tard, à force de crier haut et fort qui elle était, Karen fut ...