1. Nadine, la vengeance d'une maman (8)


    Datte: 10/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... témoignage vivant de leur amour révolu - suivait son chemin à travers les dédales sinueux de sa conscience mise à mal. Existait-il revanche plus implacable ? Rendre la monnaie de sa pièce à cet épouvantable connard, et de cette façon par dessus le marché ! Quelle impitoyable vengeance, n’est-ce pas ? Ce salopard adultère méritait une bonne leçon, une correction à la hauteur de sa trahison. Il ne s’en remettrait jamais. Il n’aurait que ses yeux pour pleurer, et l’éternité pour regretter. Avec appréhension, débordante d’une vilaine excitation malsaine, elle avait patiemment attendu le retour de son fils. Les dés étaient jetés. Elle ne voulait pas le brusquer, mais elle avait pris sa décision. Pourtant, elle était loin d’imaginer sa réaction le soir même… Son regard quand il était entré. Son incrédulité face au spectacle qui l’attendait. Leur désir réciproque qui couvait : comment anticiper un tel raz de marée ? Disparue la morale, balayés les interdits. Elle ne se souvenait pas de la progression, de l’enchainement des situations… à quoi bon ! Quand il avait fourré la main dans sa culotte (de pute), elle s’était débattue, indignée par son audace inouïe. « Mais pour qui me prend-il ? Je ne suis pas une de ses petites copines, tout de même… je suis sa mère, bon-sang ! » Pourtant, malgré sa stupeur scandalisée, elle avait écarté les cuisses et creusé les reins pour lui faciliter l’accès. Très vite, elle avait perdu pied. Elle était stupéfaite qu’il connaisse d’instinct ses ...
    ... préférences. Il faisait les mêmes gestes, la touchait aux endroits qu’elle avait stimulés, en solo, quelques heures plus tôt. Vautrée sur lui, elle gisait telle une grenouille sur le dos, écartelées, toute molle, abandonnée. Et il l’avait tétée comme quand il était bébé. Il avait sucé son sein avec la voracité d’un nouveau-né affamé. Et il l’avait branlée. Elle n’en revenait pas que ce soit aussi bon, qu’il la caresse si bien ! Elle avait abdiqué toute dignité. Seule la main de son fils comptait. Ses doigts qui entraient et ressortaient, qui la fouillaient. Elle avait joui bruyamment, bestialement. Après, elle s’était enfuie, honteuse, dévorée par les remords et la culpabilité. Elle avait éprouvé un désarroi total, l’impression d’avoir dépasser les bornes, d’avoir franchi la limite autorisée. Le point de non-retour. Pourtant, elle n’était pas au bout de ses surprises. Il était venu dans sa chambre, alors qu’elle était persuadée qu’il n’en aurait pas le cran, pas après ce moment de folie partagé. C’est peu dire qu’elle se trompait… Maman bondit hors du canapé en maugréant. Je ne quitte pas des yeux son cul, hypnotisé par ses fesses rebondies, son derrière moelleux qui tremble alors qu’elle s’éloigne. Une fois qu’elle a disparu, je me déshabille calmement, enlève lentement tous mes vêtements et me dirige vers sa chambre. Je n’ai pas encore joui, moi : je bande comme un chien en rut qui réclame son dû. Quand je pénètre dans sa chambre, je vois tout de suite qu’elle est dépassée par les ...