1. Plaisir oral, vaginal ou anal ? Pourquoi pas les trois !


    Datte: 10/07/2018, Catégories: ff, Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... pieds et poings liés à son ancien maître. Malgré toutes les opportunités que lui procurait ses hautes fonctions et basses besognes, Jacques n’avait pu se détacher d’Adrienne qui, comme on dit au pays du bélier, avait su le tenir par le ventre et le bas ventre. D’ethnie Gouro, elle était une experte parmi les expertes. Non seulement avait elle été assez sage pour avoir su hériter de la science de ses mères, mais aussi avait elle été initiée, grâce au melting pot africain de la fac de sciences, au Djaldjali sénégalais, au rasage du pubis chez les Peuls, ou aux lavements parfumés des Akans. Si Jacques avait été africain, Adrienne aurait été sa seconde épouse. À défaut, elle était sa maîtresse officielle. Jacques lui avait offert une villa à Cocody, alors nouveau quartier résidentiel, et elle s’y était installé au grand dam de son père, qui aurait préféré la voir épouse d’un petit fonctionnaire que maîtresse d’un "groto". Consciente de la précarité de son statut, elle poursuivait avec assiduité ses études de médecine. Jacques passait sa vie entre son appartement dans le 16ème et les grands hôtels des capitales Africaines. Adrienne ne l’avait pas vu depuis deux mois. Durant cette longue absence, elle avait sublimé son désir mordant en imaginant mille et un scénarios pour leur retrouvaille. Dès que Jacques l’avait prévenu de son arrivée prochaine, elle avait commencé à se préparer. En entrée, émincé d’escargots servi sur son lit de salade avec une sauce au gingembre. Elle dégrafe ...
    ... son pantalon, caresse son érection naissante, frôle des lèvres son membre. De ce plat, il apprécie la finesse, délicatement relevée. De sa langue, elle lui titille le bout du gland. En vin, Riesling. L’escargot se marie si bien au goût du blanc. Enfin, elle le prend en bouche, et engloutit son dard. La température monte. Le plat est épicé. Vite, un verre de se nectar. La tentation est grande… mais elle l’abandonne un instant. Elle veut déguster sa proie. Il était temps, le piment a failli l’achever, mais quel festin de roi. Il est à nouveau entre ses lèvres, où elle le cajole de sa langue agile. L’entrée est terminée, mais pousser l’héroïsme jusqu’au plat de résistance ne sera pas facile. L’antre de la jouissance est ouverte. Elle le reçoit dans sa bouche, chaud, épais, salé, et elle s’en délecte jusqu’à la dernière goutte. Après un court répit, le fumet du cuissot de biche, accompagné d’alloco et d’attiéké, réveille ses appétits. Jacques à toujours aimé le goût prononcé de la viande de brousse. Ce soir, il apprécie particulièrement la saveur subtile des fines herbes dont la viande a été piquée. Mais ce ne sont pas des herbes de provence. Voilà plus d’une semaine qu’Adrienne prépare ce philtre d’amour et de virilité, où yohimbé, mandragore, et autres plantes dont elle a le secret, conféreront ce soir à son amant une résistance à faire pâlir d’envie un Noir. Sure d’elle, elle n’a pas quitté son poste où, tel un adjudant impitoyable, elle continue à faire frémir son amant, dont ...
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