Plaisir oral, vaginal ou anal ? Pourquoi pas les trois !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
ff,
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... le phallus au garde à vous restera en service toute la nuit, aux ordres de ses désirs. Sous la table, la main d’Adrienne a remplacé sa bouche. Elle le masturbe doucement, alors que de sa langue elle lèche ses testicules. Ses lèvres remontent le long de sa verge, dont elle perçoit le tressaillement annonciateur d’un nouveau jet. Vorace, elle engloutit ce membre pour le recevoir au fond de sa gorge, pour la dernière fois de la soirée. Déjà moins abondant, plus liquide, et moins savoureux, c’est dans ses entrailles qu’elle recevra maintenant son amant puisque, comme prévu, le phallus reste fièrement dressé, indépendant de la volonté de son maître mais soumit aux désirs de sa maîtresse. Jacques n’est d’ailleurs pas au bout de ses surprises. Alors qu’Adrienne, sous la table, continue de le taquiner, une main vive lui bande les yeux avec un foulard. Sentant à nouveau son amant tressaillir, mais pour une autre raison cette fois, elle le calme, lui disant que tout cela n’est organisé que pour son plaisir. Puis elle abandonne le phallus si convoité, alors qu’on débarrasse la table. Quelques minutes plus tard, on lui débande les yeux. Devant lui est dressé le plus beau plateau de fruits exotiques qu’il n’ai jamais vu. Fruits de la passion fraîchement coupés, ananas pirogue, mangue hérisson, papaye et autres goyaves, frais, gorgés de jus, sont enchevêtrés dans une orgie de couleurs et de parfums. Et au centre trône le plus beau, le plus précieux de tous ces fruits. Adrienne est ...
... allongée, nue, sur la table, ses fesses cambrées au milieu du plateau. Les cuisses écartées et repliées sur son ventre, le pubis rasé, une noix de crème chantilly fond lentement sur son mont de vénus, contrastant délicieusement avec sa peau ébène. Bien sûr, il n’y a pas de petite cuiller. Jacques ne peut réprimer un sourire. Il aime ce jeu là, et c’est lui qui a le trait. De ses lèvres, il détache une tranche d’ananas, pour la faire glisser sur la cuisse d’Adrienne, jusqu’à son postérieur. Le fruit est glacé, Adrienne frémit. Elle sait son amant joueur, et elle se doute que l’attente sera interminablement délicieuse. L’ananas a laissé une traînée sucrée et luisante, de la cuisse à la fesse. Une goutte de jus suit le parcours sinueux, avant d’échapper à son lit et se perdre dans un pli de la peau. Le fruit poursuit sa course sensuelle autour du sexe d’Adrienne, pour finir sur le mont de vénus, croqué avec une infime partie de la crème chantilly. Jacques évalue le nombre de tranches du quartier d’ananas entamé. Elles sont fines. Il y en a une bonne vingtaine. De quoi jouer un moment. Ainsi, les tranches d’ananas glacées se succèdent sur la peau d’Adrienne, y dessinant des arabesques sucrées sur le ventre, les cuisses et les fesses, se rapprochant toujours plus près de son sexe sans jamais l’atteindre, et pour finir irrémédiablement sur la noix de chantilly. À la cinquième tranche, elle commence à gémir. À la dixième, elle le supplie d’arrêter. À la vingtième, son suc capiteux ruisselle ...