Plaisir oral, vaginal ou anal ? Pourquoi pas les trois !
Datte: 10/07/2018,
Catégories:
ff,
Oral
pénétratio,
fsodo,
ecriv_f,
... elle n’avait jamais imaginé murmurer un jour à son amant de la prendre ainsi, imaginé que le désir dépasserait la peur, dépasserait l’interdit. Il se relève, et fait glisser son membre entre les fesses d’Adrienne, jusqu’au petit trou lubrifié. Il avait beau s’y attendre, il ne peut s’empêcher de tressaillir lorsqu’il sent lui aussi un phallus entre ses fesses, rigide, conquérant, impitoyable. Il ne peut s’empêcher de demander grâce lorsqu’il sent augmenter la pression sur son anus, et il est forcé à la fuite en avant, dans ce cul de sac sans autres issues que plaisir et souffrance enchevêtrées. Ainsi, il pénètre Adrienne, qui ne se dérobe pas. Il sent son gland s’enfoncer peu à peu dans cette chair noire, imaginant le contraste des formes et des couleurs, imbrication de plaisirs extrêmes, entendant feulements graves et soupirs profonds. Flux. Le gland passé, son sexe arrive rapidement au bout de sa course folle, où, au bord de la rupture, il est accueilli par les gémissements d’Adrienne qui expriment une douleur submergée par un plaisir intense, qu’il ne tardera pas à connaître à son tour. Reflux. Le phallus implacable qu’il a entre les fesses ne recule pas d’un pouce, et il doit s’y empaler pour entamer son va-et-vient, de plus en plus ample, où la souffrance des premiers instants est balayée par l’étrange plaisir d’être possédé, ce curieux sentiment de plénitude, alternant de plus en plus rapidement avec l’impression de puissance, l’intense plaisir de posséder. ...
... Adrienne fouille sa vulve de ses doigts, malaxe son petit bouton, et elle ne gémit plus, non, elle rugit, submergée par un orgasme violent, alors que Jacques se répand dans ses entrailles, lui aussi entièrement pénétré par l’autre dont il n’a senti que le phallus et le souffle sur sa nuque. Soudain, son bandeau est détaché, et il regarde aussitôt derrière lui. Heike ! La splendide jeune femme rousse lui jette un regard bleu intense, félin, et lui adresse un sourire carnassier, mais si sensuel avec ses lèvres charnues et son petit menton pointu. Heike, munie d’un gode ceinture accroché à ses reins, plaque sa généreuse poitrine sur le dos de Jacques, dépose de langoureux baisers sur sa nuque et, sans relâcher son étreinte, pousse Jacques à recouvrir Adrienne, pantelante et hoquetant une jouissance inattendue. Adrienne avait su entretenir le désir de son amant, éloigner toutes celles qui auraient pu lui ravir sa place de favorite, en intégrant toujours une nouveauté à chacune de leurs étreintes, une friandise sensuelle à chaque retrouvaille, pour que jamais, non jamais la routine entre eux ne s’installe, pour toujours rester deux merveilleux amants. Elle avait perçu les regards langoureux que la sulfureuse Heike adressaient à Jacques, et elle savait que cet infatigable coureur de jupons finirait par céder au chant de cette sirène. Autant que le dérapage soit contrôlé, et aussi cuisant pour son amant que pour elle. Mais Adrienne n’avait pas prévu de tirer autant de plaisir de cette ...