1. Ma coloc' Nina (7)


    Datte: 11/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... t’estimer heureuse, c’est loin d’être un gros modèle. Certes Nina n’était pas encore trop habituée aux pénétrations anales, mais j’ai fini par pousser l’objet, de six ou sept centimètres de long pour trois ou quatre au plus large seulement, au fond de son étroit conduit. Ne restait dehors que le bout, un faux bijou, aussi rose que son bâillon. Je lui ai mis une nouvelle fessée et je me suis levé en tirant la laisse. Je lui ai fait faire le tour de l’appartement, à quatre pattes, nue, humiliée. Quand j’ai estimé qu’elle était habituée à marcher comme ça, j’ai attaché la laisse à la poignée de la porte d’entrée en lui ordonnant de m’attendre ici. Je suis allé fouiller dans sa chambre, et suis revenu avec une robe assez légère, que je lui ai jetée dessus. _ Enfile ça, on sort. Nina m’a regardée à nouveau avec cet air de chien battu, suppliante, apeurée. Et à nouveau, je l’ai regardée avec un air de « je me fiche de ce que tu penses ». Elle a mis sa robe, puis un manteau et ses chaussures, et j’ai ouvert la porte. _ A quatre pattes jusqu’à ce qu’on soit dans la rue, lui ai-je ordonné. C’est donc avec ma chienne à mes pieds que j’ai pris l’ascenseur puis traversé le hall de l’immeuble. Il n’était pas encore trop tard, et n’importe qui aurait pu rentrer à cette heure-ci. J’imaginais le vieux voisin du quatrième, avec son air libidineux, découvrant la jeune et jolie Nina rabaissée à sa condition de chienne. Il aurait fantasmé un moment avec cette image, le vieux. Mais nous ...
    ... n’avons croisé personne. Dans la rue, il faisait déjà sombre, mais j’ai autorisé Nina à se relever. Je ne voulais pas créer d’attentat à la pudeur. Pour autant, je ne l’ai pas autorisée à retirer le bâillon de sa bouche, la forçant à avancer tête baissée pour ne pas être vue et dévisagée. Pendant près de dix minutes, j’ai marché, assez vite, l’obligeant à accélérer le pas pour pouvoir me suivre, jusqu’à l’un des petits parcs du quartier. Ce n’était pas très grand, mais c’était sombre, et soit-disant mal fréquenté. Une fois à l’écart de la lumière des réverbères, j’ai attrapé la laisse de Nina, qu’elle cachait jusque là sous son manteau. _ Donne moi ta veste et à quatre pattes. Nina a regardé un peu partout autour d’elle, puis a retiré son manteau et s’est mise à quatre pattes devant moi. J’ai alors remonté sa robe, très haut sur son dos, et nous avons fait un tour. Nina avait clairement du mal à avancer, le gravier devait lui déchirer les genoux. Mais c’était la punition, et elle l’assumait, j’en étais sûr. Je l’ai tirée jusqu’à un banc, au milieu du parc. Le plus éloigné possible de la rue et de la lumière. Une fois assis, je lui ai dis de venir se mettre à plat ventre sur mes genoux. Nina ne s’est pas faite prier et s’est mise en position. Les fessées étaient d’abord plutôt lentes. Une fesse, puis une autre, puis encore la première, et caetera. Nina se cramponnait à mon genou, ou bien au banc, ça dépendait des coups reçus. Parfois, je m’arrêtais pour aller titiller sa fente. ...