Ma coloc' Nina (7)
Datte: 11/07/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... J’enfonçais un ou deux doigts en elle, au plus profond possible, avant de la claquer à nouveau. Je ne pouvais pas vraiment voir la couleur de sa peau, mais je pouvais sentir la chaleur qui en émanait. Je la devinais bien rose, presque rouge. Nina gémissait, je l’entendais malgré le bâillon. J’ai continué un court instant, puis je l’ai attrapée par les cheveux pour la faire se lever, puis je l’ai faite allonger sur le banc, tête pendante. Alors que d’une main je retirais son bâillon plein de bave, de l’autre j’ai défais ma ceinture et sorti mon sexe. Immédiatement, Nina a ouvert la bouche, et j’ai glissé en elle, jusqu’à entrer entièrement dans sa gorge, jusqu’à ce que mes bourses s’écrasent contre son nez. Nina s’est mise à tousser, et a tourné la tête pour échapper à mon membre, relâchant par la même occasion une belle quantité de salive sur son visage. Et puis j’y suis retourné, et j’ai commencé à lui baiser la bouche, pour de vrai. Elle s’étouffait, bien sûr, mais je la tenais fermement et continuais à aller et venir dans sa bouche comme si ça avait été son vagin. Je la tenais fermement par la gorge, ce qui était plutôt drôle puisque je pouvais sentir mon sexe la déformer. De mon autre main, je claquais tantôt ses seins, tantôt son sexe. Parfois je me retirais, pour la laisser respirer, et cracher. Son visage était recouvert de bave, un vrai massacre. Et je crois que c’est ça, aussi, qui a précipité ma jouissance. Quand j’ai senti la sève monter, je me suis enfoncé au ...
... plus profond de sa gorge. Nina a toussé, essayé de me pousser, mais je ne me suis retiré que lorsque j’ai commencé à éjaculer. La première giclée est allée directement dans son œsophage, puis j’ai largué le reste sur son visage. Je me suis ensuite retiré et j’ai regardé mon « œuvre » avec un peu de recul. Nina avait une tête effroyable, les cheveux dans tous les sens, le visage recouvert de foutre et de bave. J’aurais pu m’arrêter là, l’humiliation avait assez duré. Surtout que nous devions faire le chemin du retour à pieds, et je n’avais rien prévu pour l’essuyer. Mais il y avait quelque chose que je voulais la voir faire avant de rentrer. _ On va rentrer, mais d’abord je veux que tu pisses ici, comme la chienne que tu es. Nina s’est assise sur le banc, se remettant doucement de ses émotions. Elle n’a pas osé bouger pendant quelques secondes, je pense qu’elle ne s’attendait pas à un tel ordre de ma part. Mais j’avais envie de casser toute barrière en elle, et ce genre de situation faisait partie du processus. Sous mon regard insistant, Nina s’est accroupie à côté du banc, cuisses écartées. Mais je l’ai attrapée par les cheveux pour la tirer en avant, lui rappelant qu’une chienne doit être à quatre pattes. J’ai dû attendre une minute qu’elle se concentre, avant d’entendre le bruit de son jet d’urine sur le gravier. Je ne l’ai pas lâchée des yeux. J’imaginais bien à quel point ça devait être humiliant pour elle. Et moi, ça m’excitait. Avec mon autorisation, Nina s’est ensuite ...