1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... visage. J’ai eu un léger mouvement de recul ; elle n’a rien dit mais je l’ai entendue marmonner pour elle-même : ce n’est pas la vraie raison et elle a secoué la tête.Au moment d’aller me coucher, je lui ai donné 200 euros (gardant 100 euros pour moi) ; je l’ai vue pâlir et me dire de suite :— Tu ne t’es pas louée à un homme ? J’ai eu beau lui dire non, que j’avais emprunté cet argent à des amies qui avaient pris des jobs d’été, elle avait eu du mal à me croire mais elle m’a laissé filer me coucher. Au cours de la nuit, pensant à ce que j’avais fait et dans l’impasse où j’étais, j’ai eu une crise de larmes, d’après ce que m’a dit maman, de véritable désespoir. Elle s’en est aperçue et elle est arrivée au milieu de ma crise ; elle s’est assise sur mon lit à côté de moi et m’a prise dans ses bras comme lorsque j’avais des chagrins de petite fille. Elle est arrivée en me berçant dans ses bras à me calmer et c’est à ce moment-là qu’elle m’a dit :— Tu ne crois pas Amandine qu’il faudrait que tu me dises exactement la vérité sur ta journée si tu veux que je t’aide.Je pense qu’elle devait croire à un chagrin d’amour. J’ai bien essayé de raconter à nouveau mon histoire idéale mais elle ne m’a pas laissé continuer.— Amandine n’invente pas un conte de fée, dis-moi exactement les choses ; une mère peut tout entendre de sa fille.C’est alors qu’en pleurant (je ne voulais pas qu’elle croit que je m’étais prostituée) je lui ai raconté de A jusqu’à Z mon après-midi et le marché fait avec ...
    ... vous. Elle n’a rien dit sur le moment, elle m’a simplement embrassée en me disant :— Tu as bien fait de me dire la vérité. Je te dirai dans les jours qui viennent ce que je pense de toi et de ce que tu as fait. Maintenant dors.Elle n’a quitté ma chambre que bien plus tard. Juste avant de m’endormir, je me suis aperçue qu’elle avait des larmes aux yeux.Elle ne m’a pas parlé du problème le lendemain car elle était partie quand je me suis levée (elle tenait la caisse du supermarché) et, le soir, nous avions des amis à la maison. Par contre le dimanche, elle m’a pris entre quatre yeux dans la salle de séjour. J’ai bien essayé de trouver une échappatoire mais elle s’est montrée très sèche.— Non Amandine, il n’est pas question que tu continues à fuir la réalité. Ce que tu as fait est extrêmement grave ; je vois que j’ai perdu ma petite fille. Ce n’est pas la peine de te remettre à pleurer, tu dois affronter ton problème de face.Nous avons discuté deux heures. Naturellement j’ai eu droit à un sermon, même plusieurs, car elle revenait toujours sur les mêmes choses. Je m’étais fourvoyée et il ne fallait plus que je déraille. Elle a convenu que je ne devais pas rester oisive et elle a obtenu, depuis, que je travaille durant le mois d’août au supermarché. Elle m’a fait remarquer que le week-end serait à peine suffisant pour que je me repose.Par la suite, elle m’a repris plusieurs soirs entre quatre yeux ; elle essayait de comprendre le pourquoi de mon geste. Je ne savais pas quoi répondre. ...
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