1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... Petit à petit, je me suis aussi aperçue que la récupération de 100 euros sur votre don était une grave erreur. Je voulais les lui donner mais je ne savais pas comment faire. C’est au cours de ces dernières discussions qu’elle en est venue à parler de punition. Elle ne savait que me dire, pour finalement arriver à la conclusion que je devais accepter la fessée donnée par vous, qu’elle viendrait avec moi pour vérifier que vous n’étiez pas complètement tordu. Elle a beaucoup apprécié que la police n’intervienne pas dans le problème. Je ne sais pas comment elle va réagir pour le larcin des cent euros, c’est la première fois qu’elle me gifle.Je reste un grand moment silencieux après cette grande tirade ; c’est la première fois que j’entends Amandine parler aussi longtemps. Elle est psychologiquement anéantie et fataliste. Je pense qu’elle est prête à tout pour revenir en arrière et pour tout effacer. Elle me regarde avec ses yeux noirs qui expriment une sorte de prière muette «Je ne sais pas quoi faire, je suis en train de perdre ma mère, aidez-moi. ». Ce n’est pas moi qui vais rompre le silence (moi aussi je suis un peu perdu car c’est le moment où théoriquement je dois passer à l’action).— Je suis venue, c’est à vous de me punir… comme vous le désirez.Elle est abattue mais aussi provocatrice : « puisque tu l’as dit, fais-le ».— Alors, on fait marche arrière ?Tout ceci, dit d’un ton des plus ironiques.Je peux lire dans ses pensées :Tu parles, tu parles mais tu ne passes pas à ...
    ... l’acte. Quel courage ! Toute sa tête montre une certaine déception ; elle avait accepté la sentence, elle avait accepté de souffrir et, maintenant, rien n’arrive. J’ai l’impression qu’elle cherche à retrouver en moi l’autorité du père qu’elle n’avait jamais connu. Elle est malheureuse et demandeuse.— Oui… je vais te donner trente coups de badine, quinze pour moi, quinze pour ta mère (décision prise au hasard au dernier moment car je n’avais aucune expérience de ce type de punition). Je sais que cela fait très mal mais j’espère que tu en garderas un souvenir qui t’empêchera dans le futur de faire n’importe quoi. C’est un traitement qui ne tue pas et qui n’occulte aucune situation pour ton avenir : l’intervention de la police t’aurait suivie une bonne partie de ta vie et t’aurait, peut-être, empêchée d’avoir une profession juridique. Toutefois, si la douleur devient trop forte, je t’autorise à demander « merci » (moyen comme un autre pour elle d’écourter comme elle veut la punition et d’être ainsi maître de sa destinée). Je saurai que tu demandes grâce pour la suite et j’arrêterai.À l’annonce du traitement, elle se recroqueville sur sa chaise, elle blêmit et des larmes silencieuses ont glissé sur son visage (les larmes lui vont très bien quand elle ne crie pas). Mais la suite me surprend.— Je ne prononcerai jamais le mot « merci », dit-elle d’un ton volontaire et rageur en s’arrêtant de pleurer tout en me regardant droit dans les yeux d’un air de défi.Sous-entendu : « vous allez ...
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