1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... punition, il te suffit de prononcer le mot « merci ».Silence, reniflements ; je lui donne un paquet de mouchoirs. En même temps je tire sur sa culotte vers le haut de façon à bien dégager ses fesses ; j’en profite un peu aussi pour les tâter, pour me rendre compte de leur tonicité mais aussi, par envie, de mesurer leurs douceurs. Et je prends mon courage à deux mains.— Tu es prête ?— …(Silence)… Ouu… ui ! dit-elle d’une voix basse et voilée.Sweaak… sweaak… sweaak… sweaak. Je vais de plus en plus fort car Amandine serre les dents et ne dit rien.sweaak…— Aaouuu !Pour une fois elle semble avoir mal. Je regarde les dégâts : les trois premiers coups ont à peine rougi ses fesses, l’avant-dernier a laissé une trace et le dernier en a laissé une, bien nette, qui gonfle petit à petit. Mon problème maintenant cela va être d’équilibrer les coups entre les deux fesses et d’éviter que la pointe de la badine vienne en contact avec ses fesses afin de ne pas la blesser.—Sweaak… sweaak…. Aaaouu !Sweaak… sweaak…. Aaaoouu ! Aaaaouu…Ayant donné deux coups successifs, elle accuse le coup en faisant une ruade et en se servant de sa main droite pour effacer la douleur sur ses fesses.—Sweaak… sweaak. Aaoouu— Amandine, pas question de te frotter les fesses, sinon, je rajoute des coups.Elle lève la tête vers moi, affolée, son visage est barbouillé de larmes, mais elle ne dit rien ; elle serre les dents et ses mains sont accrochées aux oreillers qu’elle pétrit de toutes ses forces à chaque coup. Elle ...
    ... pleure et gémit.— Cela fait mal, ça brûle.Mais elle ne demande pas « merci », ce que j’aurais préféré. Je ne dis rien ; je regarde ses fesses et je vois cinq marques plus ou moins nettes de mes coups. Je ne peux pas dire encore comment elles évolueront, j’attends un peu qu’Amandine retrouve ses esprits. Pour marquer un temps de pause, je lui dis.— Nous en sommes à dix, il en reste vingt.Silence et gémissements Sweaak… weaak… sweaak. Aaaoouu… Aaoou… Je n’en peux plus, ça fait trop mal. Je vous demande pardoooonnnn…Mais elle ne prononce pas le mot magique « merci » ; elle ne veut pas se montrer faible. Son regard est très expressif et semble dire :pas question que je renonce et que je dise « merci ».—sweaak… sweaak…. Waouuuuuu, Waouuuuu…Elle ne dit plus rien mais ne demande pas « merci » ; elle sanglote sans bruit, tout son corps est parcouru de tremblements qu’elle n’arrive pas à surmonter. Je regarde les dégâts : cinq nouvelles zébrures rouges qui gonflent petit à petit. Certaines des autres zébrures sont rouge-bleu maintenant. Elle a la peau qui marque.— Nous en sommes à quinze ; je vais donc maintenant te fesser à la place de ta mère.J’attends un peu qu’elle se calme et je reprends. Sweaak… weaak… sweaak.Elle ne dit rien. Je regarde les fesses : de nouvelles zébrures sont apparues, serait-elle anesthésiée ? Je lui relève la tête qu’elle a enfouie dans l’oreiller ; elle est en larmes mais elle se contrôle. Elle me regarde d’un air suppliant ; je fais celui qui ne le voit pas. ...
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