1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... voir ce que vous allez voir, je sais résister à la douleur ». Je reconnais bien là son caractère volontaire qui m’était déjà apparu dans ses comportements.— Tu vas te mettre, courbée en deux, sur la table du séjour, pieds au sol ; je vais chercher une couverture et des oreillers afin que tu ne sois pas en contact direct avec le bois. Tu mettras ta tête dans les oreillers ; ils te serviront à étouffer tes cris et à te cramponner avec les mains sous la douleur. Le traversin sera disposé sous ton ventre pour éviter de te blesser sur l’arête de la table en cas de mouvements brusques. Je ne vais pas t’attacher.Je vais chercher le matériel dans ma chambre et je le dispose sur la table. Pendant ce temps, Amandine pâle comme une morte se lève et se dirige, les yeux dans le vague, vers la table, elle ne me regarde pas.— Enlève ton pantalon.Devant son regard interrogatif, pour éviter toute interprétation oiseuse, je m’empresse de lui mettre les points sur les « i ».— Tu peux garder ta culotte, j’ai besoin de voir tes fesses car je ne veux pas te blesser.Elle se dandine et enlève son jean avec beaucoup de difficulté mais je ne suis pas sûr que ses mouvements pour s’en débarrasser n’aient pas été exagérés afin de faire appel à ma libido. Je peux alors apprécier ses petites fesses dans sa petite culotte bleu pâle, taille basse. Je ne suis pas sûr d’ailleurs qu’elle n’ait pas fait exprès de ralentir sa sortie du pantalon.Je prends conscience alors que je ne suis pas complètement ...
    ... insensible à ses charmes. Elle a de grandes jambes fines avec des muscles longilignes (j’ai appris depuis qu’elle faisait à l’époque beaucoup d’athlétisme) et une taille de guêpe. L’ensemble forme un tableau charmant. Je m’arrange toutefois à ne pas trop fixer les parties basses de sa personne afin de ne pas la gêner et de ne pas augmenter mon excitation ; je suis là en bourreau et non en amant (bien que l’envie me taraude).Je dispose alors sur la table la couverture pliée en trois avec deux oreillers pour qu’elle puisse y poser sa tête et le traversin au bord de la table pour quelle puisse y appuyer son ventre.Durant tous ces préparatifs, elle fait celle qui ne voit rien de spécial comme si cela ne la concerne pas. Je mets de la musique de façon assez forte pour couvrir le bruit qu’elle pourrait faire en criant, ce n’est pas la peine de faire cancaner les habitants de l’immeuble.Je la prends par un bras, elle a un léger mouvement de recul et je la fais venir contre la table. Des larmes coulent de ses yeux mais elle ne dit rien, elle semble comme muette et anesthésiée. Elle se courbe sur la table, tête sur les oreillers mains de chaque côté de ces derniers, ventre sur le traversin, le reste du corps à quatre-vingt-dix degrés avec les pieds touchant le sol. Je vais alors chercher la tige de coudrier.— Je vais te donner trente coups avec cette badine par salves de cinq ; après chaque salve, je vérifierai que je ne t’ai pas blessée. N’oublie pas qu’à tout moment tu peux arrêter la ...
«12...141516...42»