1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... dimensions physiques et morales de ma personne puis je l’ai entendue descendre l’escalier avec précautions, ses fesses devant lui faire mal. En moi-même, je pense à ce qui venait de se passer, et la question qui me turlupine est de savoir pourquoi elle s’était laissé faire alors qu’elle avait possibilité de mettre fin à son calvaire en demandant « merci ». Il faut dire aussi que je ressens un mélange de joie et d’inquiétude du fait des moyens de consolation que j’ai trouvés pour la calmer à la suite de son cinglage punitif. Va-t-elle tout raconter à sa mère en me chargeant de mille actes répréhensibles ou va-t-elle, au contraire, tout occulter car elle a apprécié mes dernières actions ? 00000000000000000000 Je ne la revois par la suite qu’en août. Cela faisait trois jours que j’étais revenu de mon école d’été et nous sommes un samedi ; il est 15 h/15 h 30 et j’essaye de mettre un peu d’ordre dans ma cuisine car j’avais été faire des courses au supermarché ; il faut bien que je recharge mon frigo. —Dringggg ! Encore quelqu’un qui veut me fourguer une marchandise ! — Oui… vous désirez ?— C’est Amandine ! J’aimerais vous voir. Puis-je monter ?— Oui, cela me fait plaisir de te voir et d’avoir de tes nouvelles… mais je t’avais demandé de me tutoyer. J’appuie sur le bouton déclenchant la porte et je l’entends monter quatre à quatre l’escalier. J’ai à peine le temps d’aller à ma porte et de l’ouvrir, qu’elle est sur le pas de la porte. Ce que je vois me surprend. Ce n’est plus la ...
    ... jeune fille provocatrice, au regard hostile, que j’avais vue il y a trois semaines mais plutôt une jeune fille de bonne famille, un sac à la main, rendant visite à des amis : petite robe courte d’été bleu ciel laissant deviner au niveau de la poitrine les deux tétons de ses petits seins soulignant ainsi l’absence de soutien-gorge, cheveux propres attachés en arrière avec élégance, un visage reposé respirant le bonheur de vivre et, surtout, ses yeux noirs brillant de tous leurs feux. Je m’efface pour la laisser passer et nous nous embrassons en bon camarade. — Comment vas-tu ? Tu es magnifique ! Tu ne travailles pas cet après-midi ? Je croyais que tu étais caissière au supermarché ? Hier, j’ai pu voir que tu y travaillais ; je ne suis pas passé par ta caisse pour ne pas te gêner.— Non, j’ai changé mes horaires avec maman ; elle voudrait t’inviter demain à déjeuner. J’espère que c’est possible ? Bien qu’ayant l’impression d’être tombé dans un piège, je me sens très heureux de l’invitation car tout semble indiquer que la crise de la fille vis-à-vis des autres et la crise fille-mère deviennent du passé. — Pas de problème, je n’ai rien de particulier à faire demain ; je serai très heureux de vous rejoindre pour le déjeuner. J’aurai une excuse pour ne pas finir de ranger mes papiers. Je vois Amandine qui sourit et ses yeux noirs pétillent. — Tu vas bien ? Ce n’est pas trop difficile, actuellement, avec ta mère ? Travailler au supermarché, ce n’est pas trop dur ?— Avec maman cela ...
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