1. Amandine


    Datte: 12/07/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, vengeance, noculotte, Oral 69, pénétratio, fsodo, init, coupfoudr,

    ... s’est arrangé petit à petit mais les premiers huit jours ont été durs car elle ne me parlait plus et si j’essayais d’engager la conversation, elle ne faisait aucun effort pour la continuer et, le soir elle allait dans sa chambre. Elle ne s’est même pas inquiétée le premier soir pour mes fesses alors que j’avais très mal (elle devait m’avouer que le dimanche qui suivit sa punition, elle était restée au lit toute la journée à cause de la douleur). Maintenant cela va mieux et je n’ai quasiment plus de traces. J’avais l’impression d’être une pestiférée. Finalement, un soir, n’y tenant plus, j’ai attendu qu’elle soit couchée et j’ai été pleurer dans ses bras en lui demandant pardon. Nous avons pleuré de concert. Elle voulait comprendre pourquoi j’avais été entraînée à voler ; je n’ai jamais pu lui donner la réponse à cette énigme. Peut-être, comme elle me l’a dit, est-ce que j’avais été toujours trop sage et trop respectueuse des autres et que je voulais que l’on fasse attention à ma personne ? Je crois que de ce côté-là, je n’ai pas loupé mon coup mais maman ne méritait pas que je lui fasse cela. Je ne peux pas oublier que c’est elle qui m’a élevée, toute seule, puisque l’homme à mon origine n’a jamais voulu exister. Il est parti dès que maman a été enceinte de moi et n’a plus donné de signe de vie. Peut-être qu’elle aurait dû retrouver un autre partenaire pour vivre avec lui en couple mais, si elle a eu des amis, elle n’a jamais voulu que leurs relations se transforment de ...
    ... cette façon-là ; elle est bloquée depuis sa mésaventure à vingt-sept ans ; elle ne fait plus confiance aux hommes ! Maintenant nous faisons beaucoup plus attention l’une à l’autre et nous échangeons beaucoup entre nous. Puis j’ai mon travail au supermarché ; certes, hôtesse de caisse ce n’est pas terrible, mais cela me donne un peu d’argent qui me servira l’année qui vient, et je vois du monde. Après cette grande tirade, le silence s’installe dans la pièce. Je suis heureux du dénouement mais je ne sais pas que dire à Amandine ; je ne la connais pas assez et je ne sais pas ce qui peut l’intéresser. Je suis aussi un peu inquiet car elle avait dû parler de moi à sa mère. Je ne puis m’empêcher, cependant, de lui poser la question que je voulais lui poser depuis le samedi où je l’avais punie. — Amandine, pourquoi n’as-tu pas demandé « merci » ? Je ne voulais pas te torturer, je voulais simplement te punir et si tu l’avais demandé je me serais arrêté aussitôt de te cingler les fesses.— Mathieu, je crois que les gifles de maman m’avaient anéantie… et j’espérais, en me montrant courageuse face à la douleur, me racheter un peu et conjurer le sort. J’étais dans un état second et je me disais, en moi-même, que mon futur serait conditionné par ma résistance à la douleur. Je m’étais bien aperçu durant ce sinistre après-midi qu’avant la correction elle était psychologiquement abattue et qu’elle était prête à tout afin d’effacer ses actes passés. — Mathieu, pourriez…— Non, pas « vous », ...
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