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Vive les transport en commun (1)
Datte: 12/07/2018, Catégories: Gay
La joie des transports en commun !! Me voilà encore coincé dans ce fichu train de banlieue plein à craquer ! J’en ai au moins pour trois quarts d’heure à être serré. Les gens entrent, se poussent, se glissent vers le couloir lui aussi bondé. Je n’ai même pas besoin de me tenir pour rester debout. Ça pousse encore ! Et lui qui se colle vraiment. Les mouvements du train me font me frotter contre sa hanche. Il se tourne un peu, me tournant le dos. Je suis contre ses fesses maintenant. On se frotte encore. Doucement, je me mets à bander. Je ne peux rien faire contre cette érection, sauf tenter de me reculer un peu pour diminuer la pression contre lui. Mais rien n’y fait ! Je bande de plus en plus. Je me rends compte alors qu’il se colle à moi, gardant ainsi le contact. Il me semble même qu’il ondule du bassin. Comme à mon habitude, je porte une culotte en dentelle sous mon pantalon. Ma queue maintenant bien dure est dressée contre mon ventre, le long de mes boutons de braguette. Je suis parvenu à la mettre ainsi au moment d’un arrêt du train. Mon voisin se régale en se frottant contre moi. Pour ma part, je le laisse faire. C’est assez agréable finalement. Nouvel arrêt ! Il en profite pour se tourner. Nous voilà presque face à face. Il est joli garçon. Sensiblement de mon âge, nous sommes de même corpulence. Il semble un peu gêné mais me regarde néanmoins avec un léger sourire complice. Nouvelle caresse sur mon entrejambe, mais avec la main maintenant. Il sait y faire le ...
... bougre ! Il me malaxe la verge au travers du pantalon en me regardant dans les yeux. Je glisse ma main vers la sienne pour l’encourager. Il la guide vers son sexe que je sens bien bandé aussi. Nous nous caressons ainsi de longues minutes et je peux apprécier la vigueur de ce membre plutôt bien dimensionné. Profitant d’un nouveau mouvement autour de nous, il se plaque encore un peu plus tout en glissant ses doigts entre les boutons de ma braguette qui s’ouvre en partie. Il écarte le fin tissu et se saisit de ma bite à pleine main, il me glisse à l’oreille : — J’adore ta queue... De mon côté, une main le masse toujours et j’ai glissé l’autre sous sa ceinture en bas de son dos. Mes doigts sont en haut de sa raie où je devine la ficelle d’un string. Je joue à la tendre un peu pour stimuler sa rondelle. Il me regarde en écarquillant les yeux, la bouche entre-ouverte. Il me branle doucement, glissant parfois ses doigts sur mes couilles toutes lisses. Il se passe le bout de la langue sur ses lèvres. Son regard est coquin. Je meurs d’envie de me pencher vers lui pour l’embrasser. Il accélère un peu ses caresses, faisant monter encore un peu la pression. Il va finir par me faire jouir ! — Je descends à la prochaine... me dit-il doucement à l’oreille alors que le train ralentit déjà. Une dernière pression sur ma queue et il me lâche. Il se retourne un instant pour se coller encore contre moi. J’en profite pour reboutonner ma braguette. La porte s’ouvre, il avance dans le flot de voyageurs. ...