Vive les transport en commun (1)
Datte: 12/07/2018,
Catégories:
Gay
... J’hésite un court moment avant de me laisser pousser par la marée humaine. Il marche devant moi sans se retourner, emprunte un escalator. Le panneau indique le parking. Je suis derrière lui. On est dans une file de gens pour passer la porte s’ouvrant sur le garage. Les gens s’éparpillent pour regagner leur véhicule. J’ai les yeux rivés sur le postérieur de mon compagnon de voyage qui serpente entre les voitures avant de s’arrêter pour se retourner. Il me sourit et se colle à moi, m’offrant sa bouche alors que ses mains replongent vers ma verge toujours bandée. Nos langues se cherchent, s’enroulent et mes mains ont défait sa ceinture avant de s’agripper à ses fesses. Il s’accroupit un instant pour me prendre en bouche et m’avale jusqu’à la garde. Ses mains palpent mes fesses, ses doigts glissent sur ma rondelle. Je fouille mes poches pour sortir une capote. Il se relève en se retournant, cambrant le dos pour m’offrir son cul. Je déroule la capote sur ma queue et j’écarte la ficelle de son string pour placer mon gland sur sa rondelle déjà humide. Il écarte les jambes, offrant ses fesses. Je le sens s’ouvrir, accueillant et chaud. Il gémit pendant que je le transperce d’une seule traite. Plaqué contre ses fesses, je reste planté au fond de son ventre, la tête dans le creux de son cou. Il se contracte sur ma colonne de chaire. Je me recule doucement avant de replonger au fond de ses entrailles. Après quelques passages lents et profonds, j’accélère la cadence, claquant mon ventre ...
... sur ses fesses. J’attrape sa queue pour le branler. Il bande toujours et gémit de plus en plus fort. Il va finir par nous faire remarquer ! Je sens la sève monter. Quelques coups de reins encore et je me vide dans la capote en retenant mes râles de plaisir, ma queue entrée au plus profond de son ventre. Il jouit aussi, aspergeant la portière contre laquelle je viens de le précéder. J’attends quelques instants pour reprendre mes esprits, laissant ma queue redescendre doucement. Quelques coups d’œil aux alentours pour s’assurer que personne ne nous a vus. Coller contre son dos, j’en profite pour lui caresser le ventre et remonter jusqu’à sa poitrine. Ses tétons sont tendus et visiblement sensibles. Il se laisse volontiers caresser. Il se retourne pour m’embrasser et nous nous rhabillons. En sortant du parking, il me dit qu’il s’appelle Loïc et que la prochaine fois, c’est lui qui me prendra. — Quand tu veux ! Tiens, voilà mon numéro lui dis-je en lui tendant une carte de visite. Il a filé dans les couloirs de la station et j’ai repris le train. Deux jours plus tard, dans le même train, avec autant de monde, mon téléphone vibre. Un SMS...’’Toujours envie ?_ Toujours _ même endroit ?_ OK. T’es ou ?_ regarde à droite’’ A l’autre accès, adossé à la porte, Loïc me regarde en souriant. Le train s’arrête et on descend sur le quai. Cette fois c’est moi qui ouvre la marche. Il me suit dans le parking. Sensation extrêmement excitante que d’être suivi en sachant qu’on va se faire baiser ...