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Épilogue en Apothéose
Datte: 25/07/2017, Catégories: ffh, fbi, extracon, hépilé, fépilée, vacances, amour, Oral 69, double, fsodo, init, mélo,
... broutent alors le minou avec gourmandise. Je me couvre d’une capote et je me présente à genoux derrière Valérie. Je suis les ondulations de son derrière animé pour pouvoir masser son anneau plissé avec mon gland. Véro, qui a la bouche plaquée sur la moule de sa copine suit mon attaque de près. Je sens que le petit orifice n’est pas assez huilé, je glisse ma queue plus bas pour récupérer la lubrification nécessaire. Je me glisse une première fois dans la bouche de Véro, qui m’accueille malgré un angle peu favorable. Elle lubrifie volontiers mon vit avant de m’envoyer masser le petit trou avec une insistante grandissante. Je reviens chercher plusieurs fois le gel lubrificateur naturel de la bouche de Véro et de la chatte dégoulinante de Valy pour pénétrer chaque fois un peu plus ce cul vierge et complaisant. Valérie est excitée et s’offre volontiers à cette joute. Mes pénétrations fugaces dans son vagin, mais surtout le cunnilingus dévorant de Véro l’ont mise dans un état de désir total. Elle a peut-être un peu mal à chaque intromission, mais n’en laisse rien paraître. Ce petit jeu rend son cul si accueillant que mon gland entre et sort maintenant avec facilité. Il n’est plus question de jouer : la nouvelle pourfendue s’empare elle-même de ses fesses pour les écarter et pour me signifier de lui porter l’estocade.Je rajoute toute la salive dont je dispose, masse l’orifice sacrifié, qui est maintenant bien souple, et enfin… Je m’enfonce alors d’un seul long et lent mouvement au ...
... fond de son mignon petit cul. Je retrouve le plaisir particulier et intense de la pression forte de cet antre étroit à la base de mon vit surtout, mais aussi voluptueusement tout au long de ma tige. Je suis ému aussi par l’interdit, l’offrande ultime de la femme au mâle pourfendeur, la caresse de ses miches sur mes hanches qui s’écrasent sur des fesses douces au moment où ma queue est au zénith de son emprisonnement licencieux. Je ressens à nouveau ce plaisir ineffable que Véro m’a fait découvrir, il y a seulement deux jours ! Véronique suce la moule de sa consœur avec véhémence. C’est visiblement bien venu pour Valy qui ondule le bas de son corps au rythme de la brouteuse. Je me soumets à leurs imprécations païennes et je pistonne ce petit trou en m’accordant à leur cadence. Au cours de ce chemin vers la félicité, je sens les doigts de Véro à travers la fine paroi qui sépare son anus et son vagin. Valérie subit donc une double pénétration pour sa première sodomie, elle brûle les étapes. Notre trio devient endiablé. On ne sait plus qui est le chef d’orchestre, mais le plaisir de Valérie est le moteur de l’intrigue. Valérie, qui quémande, qui exige toujours plus de force, de vigueur, de profondeur dans son supplice. Elle ne suce plus la chatte qui est devant sa bouche, elle se consacre tout entière à son plaisir coupable. Je suis plaqué sur son dos avec ses fesses moulées dans mon aine et j’ai la tête enfouie dans son cou : notre étreinte scabreuse est une fusion totale de nos ...