1. Épilogue en Apothéose


    Datte: 25/07/2017, Catégories: ffh, fbi, extracon, hépilé, fépilée, vacances, amour, Oral 69, double, fsodo, init, mélo,

    ... cette porte favorable est bien ouverte. Je prends Véro par la main et l’entraîne par la main vers la chambre. Là, je lui retire les quelques vêtements qu’elle a mis et nous nous couchons, nus sur le lit. J’ai voulu cette situation sensuelle qui est l’aboutissement de l’évolution de notre relation au cours de ces vacances, mais il n’est pas question que nous fassions l’amour. Et je sais que Véro a parfaitement compris. Après quelques minutes à nous regarder, je l’enlace et sers mon corps contre le sien. Nous nous couvrons de baisers et de caresses, les derniers de notre vie ! Nous n’avons pas envie de faire l’amour, juste de nous sentir le plus intimement possible. Cette étreinte sensuelle n’appelle pas de prolongement, elle nous contente par elle-même. Elle n’est pas fatigante, elle n’a pas de point d’orgue qui deviendrait le bout du chemin, elle peut donc durer jusqu’à satiété. Nos caresses varient pour goûter l’autre complètement avec toute la sensualité dont nous sommes capables, mais sans sexe. Le désir s’immisce en nous sans que nous l’ayons invité : Véronique masse de plus en plus sa vulve sur mon aine ; je pétris de plus en plus fort les fesses merveilleuses qui s’offrent à mes mains ; nos corps s’épousent de plus en plus pour rechercher chaque étincelle de désir de l’autre. Quand nos attentions ont trop dérivé vers des prémices sexuelles, nous savons tous les deux que nous allons faire l’amour une dernière fois. Sans ...
    ... avoir recherché le désir, mais en l’ayant trouvé dans notre corps à corps ultime. Nos lèvres se trouvent pour un baiser passionné interminable et en même temps ma queue tendue se glisse entre les cuisses de mon amante. Sans mouvements autres que les caresses que nos corps se donnent en glissant l’un sur l’autre, mon dard s’immisce dans le sexe caché entre les cuisses jointes qui s’ouvrent à peine. Sans aucun mouvement perceptible, je pénètre ma Véronique, je la possède une dernière fois, sans la passion débordante de ces derniers jours, mais, peut-être pour la première fois, sans culpabilité. J’ai l’énergie du désespoir qui se mélange à la pulsion de la prendre pour toujours. Quand je suis fiché en elle profondément, Véro serre les cuisses fortement. Elle ressent pleinement mon vit en elle. Nous fusionnons comme nous l’avons déjà fait, mais sans artifices, sans préparation : juste l’union de nos corps. Nous faisons l’amour longtemps, en ne bougeant presque pas, nous écoutons le désir de l’autre et nous synchronisons pour grimper les marches du plaisir ensemble une à une. Nous prenons tout notre temps et avec quiétude et assurance notre envie monte de notre sexe pour nous envahir tout entier. Quand nous jouissons tous les deux, c’est le bout de notre chemin. Nous sommes des amants tranquilles, sûrs de nous et de l’autre, sûrs d’avoir eu raison de vivre nos sentiments malgré notre destin qui nous séparera tout à l’heure pour toujours. 
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