1. JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. (3)


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    J’ai dépucelé le (beau) fils de ma meilleure amie. 4ème partie. Et maintenant elle veut aussi connaître l’extase avec ce petit crapaud qui s’est transformé en étalon extraordinaire. La suite. Nous lui laissons 20 minutes de répit avant de lui sauter dessus comme des affamées mais malgré ses supplications, Julie refuse de lui retirer la cagoule. Elle aspire le gland décalotté entre ses lèvres et entame une lente succion, elle le fait glisser au plus profond de son palais comme une énorme sucette, sentant la hampe encore ramollie, à l’intérieur de sa bouche prendre peu à peu de la vigueur. A mesure que ses lèvres coulissent le long de la verge amorphe, un afflux de sang nouveau gonfle les corps caverneux et le miracle de nouveau se réalise. Sous le massage expert de ses lèvres, le membre viril gonfle et durcit dans sa bouche. Encore quelques minutes de ce traitement et la jeune verge sera prête. Sa main droite ne reste pas inactive et malaxe doucement les couilles gonflées de laitance. Sous la forte croissance de cette tige pharaonique, sa bouche ne peut plus la contenir en entier et je vois ses lèvres s’éloigner irrémédiablement du pubis du garçon. Puis elle entreprend une chevauchée lente, avant d’ordonner à Claude de la prendre en levrette et l’incitant pour qu’il introduise les doigts dans son cul pour la préparer à une sodomie. Elle lui demande de changer de trou en attirant son attention : -Je t’en pris, vas-y mollo avec ton défonce-cul, la dernière fois, j’ai ...
    ... dérouillé grave! Claude se retire de son vagin et appuie sa verge au niveau de l’anus. Je vois le monstrueux chibre progresser dans les reins de Julie qui hurle, douleur ou plaisir ? Elle tortille du croupion pendant la progression de ce coin de bois phénoménal. Il la tient fermement par les hanches et continue la formidable poussée qui ne se termine que quand la totalité de son interminable matraque ait complètement disparue dans les intestins de Julie. A mon grand soulagement, elle est entrée entièrement entre ses fesses sans coup-férir. Puis, par des lents va et vient, Claude besogne de plus en plus fort Julie qui grogne comme une véritable chienne en rut mais le plaisir l’emporte. Elle encourage Claude par des mots crus et pour faire pénétrer encore plus profondément son pal, projette son derrière au devant de l’intrus. Elle couine comme une truie qu’on égorge, les intestins complètement investis par l’épieu fiché en elle. Je ne perds pas une miette de ce tableau pornographique, une main s’activant dans ma chatte trempée. Le volume sonore des cris de Julie augmente proportionnellement aux coups de boutoirs qui sont maintenant d’une force inouïe. Complètement ravagée par des orgasmes répétitifs, elle hurle son plaisir puis se tait, exsangue. Il la besogne pendant encore quelques minutes avant de lui envoyer la purée, tremblant sur ses jambes. Un dernier hurlement de plaisir avant qu’elle ne s’effondre et ne bouge plus, la queue toujours fichée en elle. Au bout d’un moment Claude ...
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