1. JE DÉPUCELLE LE FILS DE MA MEILLEURE AMIE. (3)


    Datte: 12/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... relâche son étreinte sur ses hanches meurtries et se retire. J’en profite alors pour m’agenouiller et gober son énorme bite qui a perdu de sa superbe après l’effort mais toujours de bonne taille. Je nettoie consciencieusement ce monstre qui a ramolli, ce qui me permet d’en prendre un peu plus en bouche. Je vais tenter une chose, je suis une experte en gorge profonde et peux me flatter d’être toujours parvenue à mes fins. Mais là, le défi est impressionnant. La flamberge de Claude donne des signes de renouveau, je sens la bite monstrueuse grossir à nouveau sous mes caresses et j’aspire goulûment le nœud turgescent. Pour arriver à mon but, je suspends ma fellation et me couche sur le lit, je suis sur le dos la tête basculée dans le vide. Julie voyant ou je vais en venir a saisit le mandrin de Claude toujours aveugle et le positionne devant ma bouche tout en le conseillant : -Attention Claude, ce que va tenter mon amie, tu ne le connaîtras peut-être plus jamais ! Il faut que tu ailles très doucement en s’introduisant dans sa gorge. Elle va jouer là à l’avaleuse de sabre et le tien fait 26 cm alors tout doux ! Il glisse les 15 premiers centimètres sans problème et continue sa progression, je prends une grande respiration avant que son gland n’obstrue ma trachée. Sous la pression, ma gorge cède et centimètres par centimètres, sa formidable trique glisse avec difficulté dans mon pharynx, je retiens avec difficulté un haut le cœur tellement la grosseur de sa queue obture mes voies ...
    ... supérieures. J’ai les yeux qui commencent à papillonner, plein de larmes, quand enfin ses bourses s’écrasent sur mon nez. Claude n’en revient pas de mon exploit et ne bouge plus. Je commence à m’étouffer et gesticule pour le prévenir mais j’ai oublié qu’il porte une cagoule et ne me voit pas. Julie, comprenant ma détresse respiratoire se précipite sur Claude pour le tirer en arrière. Je peux enfin reprendre ma respiration. Ouf, il était temps, j’y suis arrivé mais je ne recommencerai pas ! Claude s’extasie : -Bordel, je n’aurais pas cru ça possible ! Quel pied ! Je ne veux pas injurier ton amie, Julie, mais faut être sacrément dépravée et aimer la bite pour faire une telle chose ! Une vraie pute ! Je rougis de honte sous les paroles de mon beau-fils, encore heureux qu’il ne sache pas qui je suis ! Julie l’interrompt et lui suggère : -Tu connais sa chatte et sa bouche, il reste son cul, tu vas t’en occuper maintenant mais avant elle va finir ce qu’elle a commencé! Je lui murmure à l’oreille : -Pour la fellation je veux bien mais pas mes fesses, tu sais que je suis serré de ce coté là, il va me déchirer ! -Pour l’instant tu fais ce que je te dis… Suce-le ! Pour la suite, fallait-pas me demander ! Me rétorque-t-elle. Soumise, je m’agenouille devant Claude et enfourne son bâton de berger. Je le branle pendant de longues minutes, il commence à avoir la bite paresseuse, on entend plus que des bruits de succion quand soudain Julie, voyant qu’il est sur le point de jouir, prend sa ...
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