1. L'expérience


    Datte: 13/07/2018, Catégories: ff, ffh, jeunes, copains, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, fbi,

    ... rendant aux toilettes, j’entendis des gémissements caractéristiques venant de sa chambre. Il était indéniable qu’il s’occupait vraiment bien d’elle. De retour dans ma chambre, je repensai à la soirée. Le fait de me mettre nue devant cet homme ne m’avait dérangée plus que ça. Et lorsque nous l’avions mis nu, je dois avouer que l’apparition de son sexe en pleine érection n’avait pas été pour me déplaire : peut-être pas très épais, mais relativement long. S’étant tenu dressé sans aucune sollicitation, ni manuelle, ni buccale, il devait être endurant et à entendre les soupirs et les petits cris de ma logeuse, son propriétaire devait bien savoir s’en servir. Ces pensées m’excitèrent et je commençai à me branler seule dans mon lit alors que les deux autres étaient en train de s’envoyer ne l’air à quelques mètres de moi. La porte de ma chambre, que je n’avais pas fermée à clef, s’ouvrit et Mélanie entièrement nue apparut. Je n’eus pas le temps de rabattre mon drap sur moi, ma chemise de nuit remontée jusque sous mes bras, laissant deviner ce que je faisais. D’ailleurs je ne fis rien pour donner le change, ayant une main entre mes cuisses et l’autre caressant mes seins. — Tu te branles en pensant à nous, me dit Mélanie. Je ne pouvais le nier, mais je ne répondis pas. Elle me contempla et glissa sa main au niveau de mon sexe. — Et tu mouilles abondamment… Ça te dirait de venir nous rejoindre dans ma chambre ? Bernard en a très envie… et moi aussi. Je ne me posai pas de question et ...
    ... la suivis. Bernard était nu sur le lit tout blanc, son sexe légèrement gonflé, mais qui allait pouvoir se remettre en érection d’ici peu. Il me regarda entrer dans la chambre. Mélanie fit tomber ma chemise en nuit à mes pieds. Je me dirigeai sans hésitation vers la verge que je pris en main. Je la branlai délicatement avec la main avant de la lécher pour qu’elle reprenne vie. Je la pris en bouche et la suçai avec gourmandise. Ce membre était chaud comme une brioche sortant du four et avait un goût de cyprine et de sperme mêlés. Ce goût ne me gênait pas, il augmentait au contraire mon excitation. Bernard me prit par les épaules et m’assit dans le lit, m’ouvrit les jambes et plaça sa tête au niveau de mon sexe. Il approcha avec quelques coups de langue doux puis inquisiteurs et fourailla dans mon intimité déjà bien ouverte. Il virevoltait entre mon clitoris et ma vulve. Il léchait très bien et, pour l’accompagner, j’avais enfoncé mes doigts dans sa chevelure. Pendant ce temps-là, ma copine s’occupait de l’anus de notre étalon. Elle lui prodiguait des caresses buccales et digitales qu’il semblait beaucoup apprécier. Allait-elle lui prodiguer le toucher de la prostate dont mon frère m’avait parlé ? Il me semble que oui, puisqu’à un moment, mon lécheur quitta ma chatte pour lancer un gémissement de jouissance extrême sans pour autant éjaculer : il bandait toujours autant. Juste le temps que ma compagne libère sa rondelle, et il me pénétrait (avec un préservatif) dans la position ...
«12...456...11»