1. L'expérience


    Datte: 13/07/2018, Catégories: ff, ffh, jeunes, copains, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, fsodo, init, fbi,

    ... traditionnelle du missionnaire puis en levrette. J’y éprouvai beaucoup de plaisir tandis que Mélanie nous regardait et, de temps à autre, venait me caresser les seins, puis les embrasser aussi. À un instant, je sentis que mon chevaucheur s’occupait de mon anus avec ses doigts tandis qu’il me pénétrait par derrière. Cette caresse anale, jamais un homme ne me l’avait prodiguée, seule Mélanie s’était permis de me doigter le cul. Je le laissais faire, mais lorsque je compris qu’il voulait envahir ma grotte secrète avec son sexe, je me récriai et lui en refusant l’entrée. — Non, jamais on ne m’a prise par là. Il n’insista pas et reprit position dans mon vagin. J’ai joui avant lui, alors il est venu se positionner derrière notre maîtresse commune, et c’est elle qu’il sodomisa. Ce n’était peut-être pas la première fois de la soirée qu’il le faisait, tant l’entrée me parut facile. J’admirai le spectacle avec délectation. Mélanie éprouva bientôt une jouissance énorme, ne pouvant pratiquement plus se contrôler. Notre mâle sortit d’elle et nous aspergea de quelques giclées de sperme, peut-être assez pauvres. Mais ce n’était pas la première fois qu’il jutait dans cette soirée et ses couilles s’étaient déjà bien vidées. Je vins quérir la semence sur le corps de ma compagne et lui en dispensai une partie en l’embrassant. Nos bouches, en se séparant, dégoulinaient de ce foutre au demeurant délicieux. Comme Bernard était un peu en panne, nous en profitâmes pour nous placer en 69 et nous « ...
    ... brouter la chatte ». Notre homme admirait le spectacle. Comme beaucoup de mâles, il fantasmait sur ces femmes qui sont lesbiennes mais qui savent donner du plaisir aux hommes. Pendant ce break, nous avons pris beaucoup de plaisir dans ces caresses homosexuelles, peut-être parce que nous étions vues par notre amant. Par la suite, il récupéra et fut en forme pour nous satisfaire toutes les deux. Il revint une ou deux fois durant le mois qui suivit, mais toujours en semaine. D’un commun accord avec Mélanie, je ne participai pas à leurs jeux. D’ailleurs il n’arrivait qu’après le repas et il était rare que je le croise. Je savais qu’il était là, mais ne cherchais pas à le voir. À la fin du mois d’avril, Mélanie, après l’un de nos tumultueux ébats, me demanda si réellement je n’avais jamais été sodomisée. — Non, mon premier amant allemand ne me l’a pas demandé, il n’a pas même essayé.— C’est vrai que c’est un fantasme très français. J’ai entendu une call-girl canadienne qui disait que lorsque son client était de nationalité française, il y avait de grandes chances pour qu’il lui demande de la sodomiser. Dans les autres nationalités, c’est moins répandu.— J’ai vu que toi, tu acceptes cette introduction.— Oui, par Bernard, car vois-tu ma chérie, je ne me ferais pas enculer par n’importe qui. Les hommes en général ne recherchent que leur plaisir sans permettre à la femme de jouir. Ils aiment au contraire lorsqu’elle crie de douleur, ils ont ainsi l’impression de la dominer, de l’avilir, ...
«12...567...11»