Christine IV : Turpitudes adultères (4)
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
Hétéro
En octobre, je me retrouve seul durant une semaine, durant les vacances scolaires. Christine part avec les enfants chez une de ses tantes dans le sud de la France. Monica est également partie, en Tunisie avec son fils. Après le départ de ma femme et des enfants, je me dis alors que je vais mettre à profit cette semaine pour mettre les choses à plat et effectuer une remise en question personnelle. Mais cela ne va pas se dérouler comme prévu. Le mardi matin, lors de la séance hebdomadaire de direction, Sofia, responsable des ventes, avait demandé de l’aide pour un important mailing à effectuer en fin de journée. Devant le manque d’enthousiasme et sans obligation en fin de journée, j’avais levé la main, ainsi qu’une des assistantes du service de formation. Seulement, à 18h, après une demi-heure de travail, l’assistante nous avait fait faux bond et je m’étais retrouvé seule avec Sofia. Sofia, 53 ans, sportive, mariée et jeune grand-mère, souffrait à son poste de travail où la charge était très importante. Il n’était pas rare de la voir sortir quelques minutes du bâtiment pour pleurer. Et pendant que nous mettions sous pli, elle m’avait tout raconté. Et beaucoup pleuré. Pour tout dire, si j’avais eu pitié d’elle au début de son récit, cela m’avait ensuite ennuyé jusqu’à l’agacement. Il était passé 20h et nous arrivions au bout de notre labeur lorsque je lui avais dit assez sèchement ce que je ressassais depuis deux heures : — Sofia, si tu n’es pas heureuse ici, cherche du travail ...
... ailleurs et démissionne ! Ce qui m’avait valu des "tu es comme les autres", "tu ne comprends rien", etc. La goutte d’eau. Sofia venait de fermer l’armoire et elle rangeait la clef dans son bureau. J’avais craqué. Face à elle, je lui avais dit : — Ça fait deux que tu te plains, ça fait deux heures que tu pleures, que tu chies sur tes collègues, tes chefs, ton boulot ! Maintenant tu vas la fermer, Sofia ! Elle était bouche béé et je n’avais pas fini. — Quoique tu en dises, il y a des personnes de qualité dans cette boite et la première de ces personnes, c’est toi. Il est temps que tu te respectes un peu, que tu respectes le travail que tu effectues et que tu te reprennes, bordel ! Sincèrement, je peux te dire qu’ici, on en a marre de te voir faire la gueule à longueur de journée ! Sofia rougissait et je sentais que j’étais à deux doigts de la gifle. — Et moi, j’en ai aussi sacrément marre que tu te laisses aller côté fringues. Depuis la rentrée, il y a un putain de laisser-aller ! Passant derrière elle, pris dans un accès pervers, je lui avais mis une grande fessée. Elle s’était tournée, vivement, sans dire un mot. Son regard n’était pas apeuré, non, pas du tout. Plutôt… vicieux. — Ça, par exemple, c’est une putain de belle jupe que tu n’avais pas portée depuis le printemps ! Elle te fait un de ces culs ! Pour tout te dire, c’est pour ça que j’ai accepté de t’aider, pour mater ton cul chaque fois que tu lèverais ! Environ trois secondes. Ça avait été la durée du silence dans la ...