Christine IV : Turpitudes adultères (4)
Datte: 13/07/2018,
Catégories:
Hétéro
... pièce avant que Sofia ne saute littéralement au cou. — Baise-moi ! Baise-moi ! Vite ! S’en était suivi un maelström de mouvements désordonnés et vifs émanant de corps affamés et avides de sexe. Elle avait fait sauter tous les boutons de ma chemise en l’ouvrant, j’avais déchiré son chemisier, arraché son string. En un éclair, son bureau avait été "débarrassé" de tous ses dossiers et même de l’écran de son ordinateur. Sofia y était couchée dans le sens de la longueur, les jambes sur mes épaules, réclamant plus de vigueur alors que je la baisais déjà comme un fou. rsorbbvd Sans ménagement aucun, je l’avais descendue du bureau et agenouillée sur son fauteuil. Elle s’était cambrée, avait ronronné et dirigé ses fesses dans ma direction. Je l’avais enfilée en levrette et astiquée avec vivacité, ma main droite tirant ses cheveux, la gauche la fessant violemment. — Fais-moi mal, Florent ! Depuis le temps que j’ai envie que tu me casses les reins ! Je l’avais alors pistonnée bien fort. Ça claque, ça halète, ça jure ! Brusque, je lui avais planté mon majeur dans le cul. Elle n’était pas propre mais j’en avais rien à foutre. J’avais très vite ajouté mon index et cela l’avait à peine fait réagir. J’avais sorti mes deux doigts plein de merde que j’avais essuyé à son chemisier avant de pénétrer avec rudesse ma bite dans son cul. Ça avait été très brutal mais Sofia prenait son pied. Lui tirant à nouveau les cheveux jusqu’à amener sa tête à côté de la mienne, je l’avais fait se cambrer comme ...
... jamais. — T’es une belle salope… J’étais sûr que t’aimais te faire prendre comme ça et enculer sans ménagement ! — Ferme-là et défonces-moi ! Je tirai plus fermement sur ses cheveux. — Tu ne me parles par comme ça, cochonne ! J’avais finalement lâché ses cheveux, agrippé ses hanches et enfoncé ma bite entièrement dans son cul. Mes coups de rein avaient été d’une rare violence et j’étais enfin parvenu à calmer ma partenaire qui avait imploré le ciel avant de me prier de calmer mes ardeurs. J’avais joui, intégralement empalé. En me retirant, j’avais observé avec un certain dégoût ma bite pleine d’excréments. Sofia s’était tournée, assise dans son fauteuil et m’avait dit : — Pisse-moi dessus. Je n’en avais pas cru pas mes oreilles. Sofia avait commencé à se masturber doucement en attendant. Il m’avait fallu quelques secondes pour réussir à uriner sur son ventre, ses seins, puis elle avait approché sa bouche. Elle avait bu. Quelques instants plus tard, l’odeur était insupportable. Sofia était alors sortie d’un état second et avait pris conscience des dégâts. Il nous avait fallu plus d’une demi-heure pour tout nettoyer et tout remettre en place sur le bureau. Nous étions ensuite descendu au sous-sol pour nous doucher et je l’avais à nouveau baisée. Elle m’avait envoyé chercher une robe dans sa voiture. Elle l’avait passée sans dessous et nous étions allés manger un morceau au restaurant. Nous avions parlé plus ouvertement, plus sincèrement. Nous étions ensuite retournés au travail ...