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Les récits de Caroline - Premiers émois (1)
Datte: 15/07/2018, Catégories: Trash,
... je ne peux pas faire ça à tes parents. Ils m’invitent à chaque fois qu’ils font un barbecue". — "Je ne vois pas le rapport". Il rigola. Finalement, il était presque plus gêné que moi.... Mais j’insistais. — "Je ne suis pas assez jolie ?" — "Bien sûr que si, tu serais parfaite, ce n’est pas la question". Je continuais à montrer ma motivation et à la fin il céda. Il m’expliqua dans les moindres détails ce qui se passerait si nous allions plus loin et une heure plus tard, nous fixâmes le rendez-vous au lendemain à 17 heures. ------------------------------------- Quand je suis arrivée, il proposa de nouveau d’oublier tout cela mais face à ma détermination, il finit par afficher un sourire scabreux. Je crois qu’il s’était fait un devoir d’essayer de me dissuader mais qu’une fois cette étape franchie il était ravi de ce qui s’annonçait. Il me connaissait depuis plus de dix ans et en me voyant en short dans le jardin à côté de sa maison, sans doute avait-il plusieurs fois imaginé ce moment bien avant que je n’aie l’âge légal. Il me fit directement descendre au sous-sol. La lumière était forte et venait à la fois du plafond et de projecteurs posés sur le plancher. Tout semblait déjà en place. — "Habille toi pour la petite séquence de présentation. On va commencer par ça". J’étais toute perturbée mais également folle d’excitation. Comme nous en avions convenu la veille, je ne mis qu’un soutien-gorge, un t-shirt assez court, des chaussures ouvertes à talons... et rien d’autre: mes ...
... fesses et mon sexe épilé n’étaient pas protégés par le moindre tissu. — "Et bien voilà, on y est. Tu te souviens de tout ce que je t’ai expliqué hier ? " — "Oui, je suis prête" — "Je te poserais les questions dont on a déjà parlé, tout ira bien". Comme Geoffroy le demanda, j’allais me placer devant le fond blanc à gauche de la pièce. Il alluma la caméra, cela allait être à moi. Tout était allé tellement vite que je n’avais pas vraiment eu le temps d’avoir peur. J’essayais de prendre une posture élégante malgré ma tenue pour le moins légère mais je fus interrompue dans mes essais par le signal indiquant que nous commencions. Monsieur Cloturo cadra mes pieds et mes chevilles puis le bas de mes jambes avant de remonter lentement. Arrivé à mon visage, il me fit un signe. — "Je m’appelle Caroline, j’ai 23 ans". — "Tu es venue t’amuser ?" — "Oui c’est ça". — "En tout cas, tu es très mignonne" — "Merci" — "Tu sais qu’ici, on va droit au but, même avec les jeunes filles. Tu peux te tourner et te pencher en avant ?" — "Bien sûr" Malgré ma gorge qui s’était serrée tout au long de ce bref échange, j’avais essayé de garder une voix normale. Je pivotais sur mes talons et je me penchais en essayant de me cambrer sans perdre l’équilibre. J’imaginais la caméra fixée sur mon postérieur et je ne pouvais nier la chaleur qui commençait à irradier mon ventre et mes seins. — "Pose tes mains sur tes fesses et écartes les" J’étais folle de m’être mise dans une situation pareille mais je n’avais plus ...