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Les récits de Caroline - Premiers émois (1)
Datte: 15/07/2018, Catégories: Trash,
... anale qui provoquait les grimaces des héroïnes de ces saynètes. Tout semblait se dérouler dans une pièce plus ou moins aménagée pour l’occasion; C’était amateur mais avec suffisamment de moyens pour que l’éclairage et la qualité des caméras permettent de bien voir ce qu’il se passait. Toujours dans la partie gratuite du site, un florilège de photos montrait les expressions des malheureuses, "Le visage du bonheur" comme l’auteur avait appelé cette section avec poésie. J’étais choquée mais pas tant que cela et ce n’était pas les pratiques qui me perturbaient mais plutôt le fait que cela se passe à quelques mètres de ma maison. Cela aurait dû me dégoûter mais à partir de ce moment-là, je ressentis au contraire un trouble évident à chaque fois que je pensais à mon voisin. Malgré la curiosité, je ne franchis jamais le pas de m’inscrire et de donner mon numéro de carte bancaire sur son site mais ce n’était pas l’envie de voir les vidéos en intégralité qui me manquait. Confusément j’avais commencé à comprendre depuis quelques mois déjà que sexuellement je n’étais pas une gentille fille; Je n’étais jusqu’alors sortie qu’avec des garçons "bien sous tous rapports" rencontrés au lycée puis à la fac mais je n’avais jamais dit "non" aux demandes de mes partenaires. Eux prenaient leur pied mais lorsqu’ils me faisaient l’amour, je terminais souvent avec le regret que cela n’ait pas été plus intense. Il y avait quelque chose en moi qui réclamait plus que ces étreintes normales. Bien sûr, ...
... j’avais déjà joui, pas toujours ni souvent mais parfois. Pourtant il me manquait quelque chose. Alors petit à petit l’idée germa en moi: Et si j’essayais ? Et si je laissais mon voisin faire de moi une star éphémère sur son site de cul ? J’en mourais d’envie, c’était mal, c’était rabaissant, c’était un fantasme purement masculin.... Mais c’était justement ce qui me donnait envie de m’y soumettre. J’avais peu d’expérience pour la pratique qui était la star de ces vidéos, j’avais laissé deux garçons s’aventurer entre mes fesses mais à chaque fois, ils n’avaient tenu que quelques secondes avant de laisser éclater leur joie. Pourtant cela ne m’effrayait pas; Au contraire. J’hésitais, pas tant parce que j’avais peur des quelques minutes que j’allais offrir à mon voisin mais parce que je me doutais que je m’engageais sur un chemin que j’aurais beaucoup de mal à quitter ensuite. Il me fallut un mois de réflexion supplémentaire mais un weekend, je me décidais enfin à aller frapper à la porte de Geoffroy Cloturo. — "Bonjour Caroline ! Tu as besoin de quelque chose ?" — "Je veux tourner dans une de vos vidéos !" Il blêmit avant de regarder à droite et à gauche si quelqu’un nous entendait et il me fit entrer en me tirant par le bras. — "Mais comment tu es au courant de ça, toi ?" Je lui expliquais les filles que j’avais souvent vues aller et venir puis celle que j’avais questionnée. — "Tu as besoin d’argent ? Tu sais, je ne paie pas énormément, c’est amateur, 450 euros la scène... et puis ...